Pouvez-vous nous décrire ce qu'est Fontstruct ?
FontStruct est une plateforme en ligne où n'importe qui peut rapidement et facilement dessiner et partager gratuitement une police de caractère modulaire.
Quel était l'objectif de FontShop en lançant FontStruct ?
FontStruct est une contribution de FontShop à la communauté typographique. Leur intention est surtout d'augmenter la notoriété de FontShop comme leader sur le marché de la typographie digitale.
FontStruct offre une excellente plateforme pour promouvoir les produits de FontShop directement et exclusivement.
https://fontstruct.fontshop.com/
Chiffres TikTok : un réseau social en pleine expansion !
Pour ceux d’entre vous qui ne le connaissent pas encore, TikTok est l’un des réseaux sociaux qui montent en puissance depuis 2018 ! Lancé en 2016, cette application mobile qui permet d’enregitrer de courtes vidéos sur des sons, musiques, passages de films ou sketch est en pleine expansion en France et dans le monde. Voici quelques chiffres qui vont surement, si vous êtes annonceur ou travaillez en agence, vous prouver de l’intérêt des TikTok Ads.
CHIFFRES : TIKTOK DANS LE MONDE
Lancé officiellement en 2016, TikTok a profité de sa fusion avec l’application Musical.ly en 2018 pour croitre de manière exponentielle dans le monde. Aujourd’hui, en 2020, TikTok se positionne avec Instagram comme l’un des réseaux sociaux avec le plus de potentiel de croissance.
LES CHIFFRES CLÉS D’UTILISATION :
Avec 800 millions d’utilisateurs mensuels actifs estimés, TikTok serait aujourd’hui le 7ème réseau social le plus utilisé au monde, juste derrière Instagram (en nombre d’utilisateurs mensuels actifs) (il y a toutefois de fortes chances que la crise du coronavirus et le confinement dans de nombreux pays ait subitement boosté le nombre de téléchargements de cette application en 2020). En 2019, TikTok a été la 2ème application la plus téléchargée dans le monde avec au total plus de 1,69 milliards de téléchargements depuis son lancement (téléchargements Play Store et App Store confondus)
Sur l’App Store d’Apple, TikTok a été la 4ème application la plus téléchargée dans le monde en 2019 et celle la plus téléchargée sur le 4ème trimestre 2019 devant YouTube, Whatsapp et Instagram notamment. Rien qu’en 2019, TikTok aurait été téléchargé au total 738 millions de fois dans le monde (+11,25% vs 2018).Chaque jour, sur TikTok, près de 1 milliard de vues de vidéo sont comptabilisées à travers le monde. Les utilisateurs actifs de TikTok passent en moyenne 52 minutes par jour sur l’application, 68% des utilisateurs de TikTok utilisent l’application pour regarder les vidéos des autres
90% des utilisateurs actifs de TikTok consultent l’application plus d’une fois par jour.
LES CHIFFRES CLÉS D’UTILISATION :
Les 18 – 24 ans représenteraient aux Etats-Unis environ 26% des utilisateurs
Les 25 – 44 ans représenteraient actuellement près de 45% des utilisateurs de l’application
Les 45 – 64 ans représenteraient actuellement 26% des utilisateurs actifs de TikTok
D’AUTRES CHIFFRES INTÉRESSANTS SUR TIKTOK :
Le chiffre d’affaires de TikTok en 2019 a avoisiné les 200 millions de dollars avec $176,9 millions.
Les taux d’engagement sur les publications TikTok sont actuellement très élevés avec des taux moyens supérieurs à 8% (cette statistique est variable en fonction du nombre d’abonnés) : a titre d’exemple, un compte avec moins de 1000 abonnés peut espérer avoir un taux d’engagement moyen de 9,4% quant avec le même nombre d’abonnés sur Instagram, il peut espérer avoir un taux d’engagement moyen de 7% (Source : étude Influencer Marketing Hub). TikTok est disponible dans plus de 150 pays dans le monde. L’application est traduite en 39 langues différentes, l’inde, la Chine et les Etats-Unis représentent à eux seuls plus de 50% des téléchargements totaux de l’application et sont les marchés les plus actifs pour TikTok en 2020.
D’AUTRES CHIFFRES INTÉRESSANTS SUR TIKTOK :
Nous ne disposons à date que de très peu de données sur l’utilisation de TikTok en France mais voici ce que nous avons à date :
En seulement deux semaines après le début du confinement en France (mi mars 2020 au 03 Avril),
TikTok a été téléchargé plus de 93 000 fois en France : l’application a été la 4ème application mobile la plus téléchargée en France sur cette période
En Allemagne, 44,2% des utilisateurs de TikTok sont des Hommes contre 55,8% de femmes (source : App Ape) : l’Allemagne étant un pays assez similaire à la France, il est assez probable que la répartition soit assez similaire en France
Si vous avez besoin de rush vidéos HD pour agrémenter vos montages
( B-Roll, background de squeeze, entraînement au montage, … ), voici de nombreuses ressources gratuites.
Si vous avez besoin de rush vidéos HD pour agrémenter vos montages ( B-Roll, background de squeeze, entraînement au montage, … ), voici de nombreuses ressources gratuites.
Tout web-entrepreneur qui se sert de la vidéo à forcément besoin, un jour ou l’autre, de “footages” pour illustrer ses vidéos de vente, ou ses vidéos de blog, ou pour les rendre plus “dynamiques”. J’ai recensé ici les meilleures sites proposant des vidéos HD gratuites.
Attention toutefois, gratuit ne veut pas dire libre utilisation dans tous les projets. Il vous faudra lire et respecter les licences accordées par chaque site ou auteur, certaines vidéos n’étant pas accessibles pour une utilisation commerciale par exemple, et les licences indiquées dans l’article peuvent être modifiées à tout moment !
De nombreuses catégories et de nouvelles vidéos ajoutées chaque semaine, dans tous les genres.
A noter la présence de vidéos “mockup” de tablettes et portables, afin d’intégrer vos propres images ou vidéos à l’intérieur.
Licence Creative Commons Zero, gratuit pour tous projets y compris usages commerciaux, sans attribution.
Plus de 3600 clips HD, avec de nouveaux ajouts chaque semaine.
Licence Creative Commons 3.0, gratuit pour tous projets y compris usages commerciaux, sans attribution.
Plus de 240 vidéos à ce jour, données gracieusement par des clients Vimeo.
Licence : gratuit pour tous projets y compris usage commerciaux, sans attribution.
Gardez le sourire 😀 😃 😄 😁 😆
Confirmation de lecture d’emails Gmail : 4 logiciels gratuits, simples et efficaces
Que ce soit dans un contexte professionnel ou personnel, pouvoir être notifié lorsque un email important est lu par son destinataire a de nombreux avantages. Voici une liste de 5 outils qui vous permettront d’obtenir une confirmation de lecture ou un accusé de lecture suite à l’envoi de vos emails via Gmail. Si lorsque vous utilisez un logiciel emailing, il vous est assez facile de savoir lorsque vos campagnes email marketing sont ouvertes et lues (et par quels emails) via les interfaces de reporting des solutions, lorsque vous envoyez des emails via une boite de messagerie comme Gmail (gmail.com gratuite ou via la version payante Google Apps), sans solution externe ou paramétrage spécifique, cela ne sera nativement pas possible.
Voici donc comment obtenir une confirmation de lecture pour vos emails envoyés via une adresse email gmail.com https://www.google.com/intl/fr/gmail/about/ ou Google Apps. https://about.google/products/
Si vous utilisez la version gratuite de Gmail et disposez donc d’une adresse email se terminant par @gmail.com, les outils gratuits listés ci-dessous vous permettront d’être notifiés lorsque votre destinataire aura ouvert et donc lu votre email :
Mailtrack : il s’agit d’une extension Chrome freemium à installer sur votre navigateur. Elle vous permet de gratuitement recevoir une confirmation d’ouverture / lecture pour tous vos emails envoyés via Gmail. La version gratuite intègre la promotion de Mailtrack en fin de vos emails, il faut souscrire à un abonnement payant afin de masquer cette promotion et avoir accès à davantage de fonctionnalités.
Boomerang : cette extension Chrome gratuite permet à la fois de planifier l’envoie d’emails dans Gmail et d’obtenir des confirmations de lecture.
https://chrome.google.com/webstore/detail/boomerang-for-gmail/mdanidgdpmkimeiiojknlnekblgmpdll
Leadboxer : cette extension Chrome elle aussi freemium mais plus limitée que la première vous permettra également de suivre les ouvertures de vos emails après création d’un compte d’essai gratuit.
https://chrome.google.com/webstore/detail/leadboxer-for-gmail/cakacefonnmihelljnmdeogkklkahlek?hl=en
Mixmax : se présentant également sous la forme d’une extension Chrome à installer sur son navigateur, Mixmax propose une version gratuite permettant de tracker jusqu’à 100 emails par mois. C’est donc plus limité que les autres mais une alternative à envisager, surtout si vous comptez opter pour la version payante de l’une de ces solutions.
https://chrome.google.com/webstore/detail/mixmax-email-tracking-tem/ocpljaamllnldhepankaeljmeeeghnid
Nouveauté : comment associer des produits à une publicité vidéo YouTube ?
YouTube a annoncé l’arrivée d’une nouveauté dédiée à ses annonces vidéo TrueView pour l’action : la possibilité d’associer des produits à des vidéos publicitaires afin de mettre en avant une sélection de produits directement sous les campagnes vidéo sponsorisées. Voici comment ça marche.
Jusqu’à présent, les annonceurs sur YouTube ne pouvaient pas associer des produits à leurs campagnes vidéo publicitaires. Désormais, il sera possible sur les campagnes vidéo TrueView pour l’action (format publicitaire YouTube qui permet l’ajout d’un bouton d’appel à l’action sous la vidéo) d’associer en plus du CTA, une mini boutique en ligne avec mise en avant d’une sélection de produits permettant de rediriger du trafic directement vers un site e-commerce.
QUELLE VISIBILITÉ CONCRÈTE POUR LES PRODUITS MIS EN AVANT SUR LES VIDÉOS TRUEVIEW POUR L’ACTION ?
Cette nouvelle possibilité YouTube Ads offrira de la visibilité pour les produits sélectionnés mais seulement après que l’internaute ait effectué un premier clic d’engagement sur la vidéo sponsorisée. En effet, les produits ne seront pas visibles à tous les internautes directement sous la vidéo publicitaire TrueView pour l’action, ces derniers devront cliquer sur le petit chevron situé à droite du call to action de la vidéo (voir ci-dessous) afin de déployer l’interface mettant en avant les produits sponsorisés associés à la vidéo. Une fois le premier clic effectué, l’internaute pourra décider ou non de scroller la liste des produits mis en avant et cliquer sur ces derniers afin d’être redirigé vers la fiche produit associée au produit mis en avant, directement sur la boutique en ligne connectée à la vidéo publicitaire via le flux Google Merchant Center.
COMMENT CRÉER UNE PUBLICITÉ VIDÉO TRUEVIEW POUR L’ACTION ?
Si vous souhaitez apprendre à créer une publicité TrueView pour l’action, vous pouvez vous rendre sur cette page d’aide dédiée ou bien consulter cette vidéo explicative (en anglais) : https://www.youtube.com/watch?v=0JW0pL0ZDiU&feature=youtu.be
Comment bien créer des profils d’entreprise sur les réseaux sociaux ?
Astuces et recommandations
La page d’entreprise sur les réseaux sociaux est une importante source de trafic et de visibilité. Support, campagnes publicitaires – tout est “lié” aux réseaux sociaux. Certains le font très bien tandis que d’autres, bien qu’ayant des milliers d’abonnés, ne récoltent qu’une dizaine de likes sur chaque publication. Beaucoup de recommandations ont été faites sur le contenu et les sujets des publications. Aujourd’hui, nous nous concentrons sur le design de la page. Après tout, il faut toujours “s’habiller pour réussir”. Comment donc créer et personnaliser des profils ?
LA CHECKLIST DU DESIGN DE PAGES D’ENTREPRISE SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX
Nous irons du général au particulier. Pour commencer, voici un guide des règles générales pour créer un profil commercial personnalisé. Comment créer une page d’entreprise pour un marketing efficace sur les réseaux sociaux ?
1. Chaque élément du profil a sa charte graphique. Il vaut mieux tout préparer à l’avance pour ne pas avoir à chercher un designer. Le design d’une page d’entreprise doit comprendre : un logo en versions couleur et monochrome (ou plus), les couleurs de l’entreprise, la police et le motif. Si vous êtes une petite entreprise avec un chef, un comptable et un technicien de surface, vous devez au moins approuver la version globalement acceptée du logo, choisir les couleurs de l’entreprise et la police. Utilisez-les ensemble.
2. Une photo de profil (pour Instagram, Facebook et Twitter) et de couverture (pour Facebook ou Twitter). Le logo de la marque sur la photo de profil (version simplifiée, sans lettres ni slogan) et les spécificités de la photo de couverture sont tout ce qu’il y a de plus classique. Cela doit permettre de visualiser (peut-être avec l’aide d’un texte) les informations sur le type de page et ce qu’on y peut y trouver.
3. Des éléments à remplir, pour les publications. La constance est à la base du branding. Le service Logaster génère gratuitement un logo de marque, ainsi que des templates en tailles requises et un style unique pour chaque réseau social. Le processus de création de symboles est très pratique et automatique : vous n’avez qu’à indiquer le nom de l’entreprise et choisir l’industrie et le schéma de couleurs.
4. Les tailles d’image correspondent aux normes définies par les réseaux sociaux. Pour chaque site, il vous faudra un ensemble défini d’éléments. Voici un antisèche simple et pratique :
Image de liens externes - 1200×630
Image de publication - 1200×630
Couverture - 820х312
Photo de profil - 170х170
Image de tweet - 1024×512
Couverture - 1500х500
Photo de profil - 400×400
Image de publication - 1080×1080
Photo de profil - 161х161
5. Du contenu disponible 7 à 14 jours à l’avance. On parle de templates et publications prêtes. Il s’agit d’infographies ainsi que d’images nécessitant un traitement. Cela ne peut pas être fait à la va-vite ; il ne faut pas qu’il y ait des doigts sur la photo, des jambes qui disparaissent ou des lignes droites qui se tordent. Il y a trop de risques pour la réputation de la marque. Il vaut mieux publier le reste du contenu sur des templates personnalisés utilisant la police, le filigrane et le schéma de couleurs liés à l’entreprise
Retouche photo
Vous aimez prendre des photos, mais le résultat est souvent décevant sans retouche ? Et malgré tous vos efforts, vous avez du mal à obtenir de belles photos du premier coup ? Qu’à cela ne tienne ! Une méthode simple et efficace vous aidera à avoir des photos de qualité professionnelle : un logiciel de retouche photo. Sans avoir à délester votre portefeuille du moindre euro.
GIMP est le logiciel gratuit retouche photo le plus puissant et le plus plébiscité, se plaçant à la hauteur des logiciels de retouche photo payants comme le mondialement connu Photoshop. Disponible sur Windows, MacOs et Linux, il offre une multitude d’outils indispensables à la retouche photo ainsi qu’au montage photo et aux créations graphiques.
GIMP intègre des outils classiques comme le recadrage, la balance des couleurs ou la saturation, mais également des outils plus avancés tels que l’outil correcteur ou l’outil clonage qui permettent de supprimer des éléments gênants sur une photo. Il se présente également comme un outil de peinture et de dessin digital.
De nombreux professionnels le reconnaissent comme une excellente alternative à photoshop. Et comme Photoshop, chaque ouverture se fait par le biais d’un onglet. Ceci facilite l’ouverture de plusieurs
Tendances marketing mobile à suivre pour 2020
Plus de la moitié de la planète utilise au quotidien leurs smartphones. Ils passent en moyenne moins de 3 heures sur leur écran et vérifient au moins 60 fois leur téléphone dans la journée. Vous imaginez donc le potentiel marketing que se cache derrière l’écran d’un appareil mobile.
Ce canal est devenu le préféré des consommateurs, si bien que les stratégies de marketing s’orientent davantage vers le mobile. Comment donc en profiter ? Voici les 10 tendances marketing mobile à explorer pour 2020.
Opter pour la publicité native
Publicité native ou publicité caméléon, c’est le format de pub le plus adapté au mobile. Elle se fond, comme un caméléon, à son environnement et elle se fond parfaitement sur les réseaux sociaux. Sur Facebook, par exemple, elle prendra la forme d’une publication avec seulement la mention sponsorisée. Sur un blog, elle prendra la forme d’un billet ordinaire avec un balisage de pub, etc.
La publicité native permet d’avoir plus d’engagements plus qu’une publicité classique. Elle apporte une valeur ajoutée dans ce que recherchent les internautes, sans que cela puisse déranger leur expérience mobile. Une publicité classique et son contenu publicitaire, qui apparaît tout à coup, donnent envie de zapper. La publicité native, elle est non intrusive. Elle ne convertit pas immédiatement, mais elle fait appel à une action, en augmentant la visibilité et la notoriété d’une marque.
Développer une application mobile
S’ils ne passent pas la moitié de leur temps sur les réseaux sociaux, les mobinautes dépensent l’autre moitié sur les app-store. Ils adorent découvrir de nouvelles applications qui leur facilitent l’expérience mobile et la navigation. Autant donc investir dans une application mobile fluide et facile à utiliser. Faites appel à un développeur si ce n’est pas le cas.
Une application ergonomique et fluide propose une expérience mobile agréable et les mobinautes n’ont pas envie de se compliquer la vie. Optimisez donc les données de votre page sur l’appstore. Faites en sorte que votre application soit facile d’accès et bien référencé. Assurez-vous que l’application soit facile à télécharger et à installer. Enfin, invitez vos utilisateurs à noter ou à donner un avis sur votre application et leur expérience utilisateur.
Cibler le marketing local
Le référencement local a de plus en plus de valeur sur les Smartphones. Cela s’explique par le fait, qu’il est plus facile de localiser par un téléphone portable que par un ordinateur, mais aussi que les consommateurs utilisent plus la recherche vocale pour faire des recherches locales. L’usage des enceintes connectées ne fait que favoriser cette pratique.
S’axer dans les publicités locales est donc une meilleure piste marketing à exploiter. Proposer un ciblage géographique de plus en plus précis et investir dans des publicités mobiles et locales plus qualitatives, tel devrait être l’investissement marketing de toute entreprise. Si votre activité cible en premier lieu votre localité, n’hésitez pas à explorer les publicités géolocalisées et référencées mobiles pour accroître vos ventes.
Développer le commerce social
Le commerce social, en plein essor, est le nouveau canal de ventes des grandes marques, mais aussi des petits commerces et des entreprises qui veulent réaliser des chiffres d’affaires. En 2018, on enregistre plus de 55% d’achats en ligne qui se sont faits sur les réseaux sociaux plutôt que sur les sites dédiés à l’e-commerce. Les entreprises vendent plus sur Facebook, Instagram et Twitter, en raison de leur accessibilité. Mais cela s’explique surtout par le fait que ces plateformes fournissent plus d’outils pour faciliter la navigation et l’achat en ligne. Cela aide à booster leurs ventes, mais aussi à faire connaître leur entreprise.
Le commerce social est le présent, mais aussi l’avenir de toutes les entreprises qui veulent vendre. Si vous n’avez pas encore exploré ce canal, c’est le moment de vous y mettre. En revanche, si vous disposez déjà d’une bonne visibilité sur les réseaux sociaux, n’hésitez pas à l’utiliser pour investir davantage dans le commerce social.
Expérimenter la réalité augmentée
La réalité augmentée est de plus en plus utilisée dans le commerce et dans le marketing mobile. Il s’agit de la superposition de la réalité sur des éléments (images, vidéos, sons, etc.) Augmenter la taille, les dimensions, les formes des objets, revient à offrir une valeur expérimentale élevée aux mobinautes. Cela est d’autant plus pratique lorsque vous intégrez vos produits dans l’expérience des utilisateurs. Vous pouvez par exemple, faire essayer un rouge à lèvres, un fond de teint, une coiffure ou encore un accessoire à une utilisatrice.
La réalité augmentée est avantageuse surtout si vous êtes dans le domaine de l’e-commerce, le design, le tourisme, la mode ou encore la beauté. N’hésitez pas à explorer cette tendance marketing pour augmenter vos ventes.
La 5G et ses nombreuses possibilités
Bientôt l’expérience mobile sera de plus en plus faste et qualitative avec la 5G. Cette technologie promet des prouesses énormes sur l’expérience utilisateur, mais aussi sur la diffusion et l’affichage mobile. Les vidéos seront en 4k, les expériences de réalité augmentée seront plus rapides et le temps de latence des réseaux devrait être réduit à néant.
Avec la 5G, les interactions vont aller à vitesse grand V, les sites et les applications deviendront plus fluides et plus puissants. Les médias seront de plus en plus qualitatifs et bien d’autres. Les entreprises et les e-commerces devraient profiter de cette technologie pour offrir une expérience utilisateur plus riche sur mobile. À vous de profiter de ce potentiel pour développer votre entreprise. D’ailleurs, les Smartphones 5G sont déjà lancés sur le marché.
Offrir différents modes de paiement
On observe aujourd’hui de plus en plus de solutions de paiement sur mobile. Il est temps de vous aligner sur les options qui sont compatibles avec l’expérience que vous offrez à vos clients. Utilisez différentes plateformes de paiement et proposez-les en fonction des dispositions de vos consommateurs.
Par exemple, si votre client dispose d’Apple Pay, proposez-lui la possibilité de payer sur cette plateforme. Et pas seulement sur votre application mobile, mais aussi sur votre site internet ou auprès de votre point de vente physique. Offrez différents modes de paiement à votre consommateur et la possibilité de disposer de toutes ces plateformes de vente pour faire leurs achats.
Proposer un affichage rapide
Si les utilisateurs préfèrent les appareils mobiles, c’est surtout pour la rapidité qu’ils offrent par rapport à un ordinateur. L’expérience mobile doit être surtout marquée par la vitesse de chargement, mais aussi la rapidité de l’affichage. La moitié des utilisateurs mobiles aspire à un chargement en seulement 1 seconde, l’autre moitié n’hésite pas à quitter une page si elle ne s’affiche pas dans les prochaines 30 secondes. Avec tous les outils qui sont déjà à votre disposition, vous devez être en mesure d’offrir un affichage rapide pour améliorer l’expérience utilisateur.
En outre, vous devez aussi savoir qu’un site lent n’est pas optimisé pour le SEO et vous fera perdre plus de visibilité. Si vous ne l’utilisez pas encore, basculez votre site en format AMP. Il est mieux optimisé pour l’expérience mobile.
Basculer vers les applications web progressives
Ce sont les versions mobiles de votre site internet. Elles prennent la forme d’une application, mais en général, c’est votre site internet qui est adapté aux conditions d’affichage d’un appareil mobile. L’objectif de ces applications web progressives est d’assurer une expérience mobile fluide aux mobinautes, sans les contraindre à télécharger une application pour accéder à votre site. Avec ce genre d’application, vous avez une vitesse de chargement rapide, peu importe le débit de votre connexion. Mais surtout, vous proposez un véritable confort de navigation qui poussera l’utilisateur à rester sur votre site. Cela ne peut que faire accroître le taux de conversion.
Recibler les clients
Le retargeting ou le reciblage est une pratique qui se fait déjà sur les sites internet. Il permet de relancer les personnes ayant déjà fait une action particulière sur un site ou un autre, mais qui ont abandonné. Cela peut se faire également sur le mobile. Pensez au reciblage pour vos clients qui ont abandonné leurs paniers d’achats ou ceux qui reçoivent vos newsletters et même ceux qui vous suivent sur les réseaux sociaux. Captez vos consommateurs sur le site internet pour les diriger vers votre application mobile. Proposez en fonction de leurs besoins, des messages et des offres personnalisées pour obtenir un meilleur taux de conversion.
Pour la mise en place de toutes ces stratégies marketing, n’hésitez pas à vous faire accompagner par un professionnel, que ce soit en développement mobile, ou en stratégie des tendances marketing, pour assurer votre développement mobile.
Les objets publicitaires
Un objet publicitaire est un article promotionnel offert le plus souvent aux clients ou aux prospects sans aucune contrepartie financière. En général, l’entreprise qui l'offre y appose son nom et son logo. Les cadeaux publicitaires remplissent différents objectifs : fidélisation des clients, amélioration de la visibilité, renforcer l’image de marque, etc. La sélection de ces goodies se conditionne à cet objectif final. Mais aussi le positionnement de l’entreprise et sa clientèle.
Quels objectifs remplissent les objets publicitaires ?
Les cadeaux publicitaires entrent dans une stratégie marketing plus globale. Ils remplissent des objectifs précis. Ils peuvent aider à :
Fidéliser la clientèle :
l’article publicitaire peut-être utiliser dans un système de récompense ou simplement pour les remercier de leur fidélité.
Améliorer la visibilité de l’entreprise et se faire connaître. Le cadeau publicitaire peut être distribué aux nouveaux clients. Et lors d’évènements où la distribution se fera à un grand nombre de personnes
Renforcer son image de marque :
selon la nature de l’objet, il est possible d’affirmer et transmettre les valeurs de l’entreprise ;
Entretenir les relations commerciales avec ses fournisseurs et prestataires ou des clients B2B : les cadeaux d’affaires permettent de remercier vos collaborateurs extérieurs pour leur travail et leur implication.
Les articles promotionnels sont le plus souvent des objets personnalisés aux couleurs, nom, slogan et logo de l’entreprise. Cette customisation doit être adaptée à l’objectif. Par exemple, si vous souhaitez offrir une montre à un fournisseur, mieux vaut y faire graver un logo discret au dos. En revanche, si l’objectif est d’augmenter votre visibilité lors d’un évènement, vous pourrez afficher franchement votre logo dans le fond du cadrant.
Quels types d’objets publicitaires choisir ?
Véritables supports de communication, les cadeaux publicitaires doivent être sélectionnés en fonction de vos objectifs et de votre positionnement pour être efficace.
Les tecniques de marquage : https://www.indiacreation.fr/objets-publicitaires.html
Pour chosir l'objet qui vous ressemble : https://www.indiacreation.fr/objets-publicitaires.html
Stands modulaires et accessibilité lors de l’événement
En événementiel, il est courant de constater des périodes d’affluence. Ces périodes sont à prévoir sur le stand et à anticiper. Avec un stand classique, vous devez définir l’agencement du stand afin de permettre aux visiteurs de déambuler, et ce, malgré l’affluence.
Dans ce contexte, le stand modulaire dispose d’un avantage non-négligeable. Il permet non-seulement de positionner les éléments en fonction de votre emplacement, mais aussi de repositionner les éléments en cas d’affluence.
Pour finir, gardez à l’esprit de votre stand n’est rien sans vos hôtes d’accueil. Ils seront le premier contact entre vos prospects et vos produits. Il est donc recommandé de penser le stand avec les personnes qui seront amenées à l’utiliser.
Devis personnalisé : indiacreation@gmail.com
Totems, silhouettes, display, urnes, mobilier
India création conçoit vos plv en carton : totem pliant, silhouette grandeur nature, PLV de sol, PLV de comptoir, présentoirs, display, box et urnes personnalisées. La PLV carton est un moyen de communication efficace qui permet la promotion de vos produits directement sur le lieu de vente et faisant appel aux techniques du merchandising. L’objectif est de mettre en évidence vos produits. La communication sur le lieu de vente doit donc se faire avec des produits comme le totem carton, les présentoirs ou les silhouettes en carton. Le totem carton pliant remplit trois fonctions : attirer l’attention, impliquer le consommateur et vendre le produit. Mettre en place un présentoir en carton, un totem, une silhouette, une urne en carton ou un porte document accroît les ventes de vos produits sur le lieu de vente. La gamme de totems en carton pliants imprimés présentée dans ces pages correspond à des produits standards.
Devis personnalisé : indiacreation@gmail.com
Hubert Munier dessine un caractère
de titrage en hommage à l’énergie de Barcelone
La fête, la plage, les tapas, l’architecture ou encore le foot… la ville de Barcelone vibre de multiples manières. Le graphiste Hubert Munier rend hommage à son énergie avec la création d’un caractère de titrage qui lui est dédié. Voici le « Holà Barcelona » une fonte aux accents « Gaudien » dont les premières esquisses sont dessinées dans les souvenirs d’un voyage en Catalogne datant du printemps dernier.
Qu’est-ce que le social selling ?
Le social selling n’est pas simplement la création de profils sur les réseaux sociaux par vos équipes marketing et commerciales. Le social selling est un processus de recherche, de sélection, d’écoute et d’interaction avec des prospects potentiels via les réseaux sociaux. Il permet de détecter, d’accélérer et/ou de développer des business.
Le social selling n’est pas simplement la création de profils sur les réseaux sociaux par vos équipes marketing et commerciales. Le social selling est un processus de recherche, de sélection, d’écoute et d’interaction avec des prospects potentiels via les réseaux sociaux. Il permet de détecter, d’accélérer et/ou de développer des business.
Le social selling est une des conséquences de la transformation numérique : aujourd’hui en BtoB, 57% des décisions d’achats sont prises bien avant le premier contact avec un commercial. Les acheteurs et décideurs se sont simplement forgés une opinion, un avis, grâce à des recherches sur Google et sur les réseaux sociaux. C’est ce que l’on appelle le pré-achat : c’est un cycle plus ou moins long (en fonction de l’importance de l’achat, du secteur, du type de produit / service) de prise d’informations, de benchmark et de tri avant de faire le pas vers une démo de votre logiciel, une présentation de votre service ou encore une demande de devis.
Comment préempter cette phase de pré-achat ? C’est là que les contenus entrent en jeu : vos équipes commerciales doivent diffuser au bon endroit, au bon moment et surtout aux bonnes personnes des contenus qui vont prouver votre expertise, votre savoir-faire, démontrer la performance de votre produit / service mais aussi des contenus qui répondent à une problématique chez vos clients potentiels. Bref, tout ce qui va influencer l’acheteur pendant son cycle de pré-achat.
Le social selling ne remplace pas les techniques commerciales et marketing classiques (prospection téléphonique, mailing, salons, réseaux, etc.) ; c’est simplement un canal supplémentaire qui permet de générer plus de leads, de réduire le cycle de vente de vos équipes et potentiellement de mieux convertir.
Comment référencer votre site en 1ère page de Google ?
1. Vérifiez l’indexation de votre site par Google
C’est la première étape, et la plus importante, car sans elle votre site e-commerce risque de ne pas apparaître dans les résultats de recherche.
En premier lieu, il faut comprendre comment fonctionne l’indexation : lorsqu’un contenu web est publié ou mis à jour, les robots de Google vont l’explorer (c’est la phase de crawl) pour récupérer des informations. Elles sont enregistrées dans une base de données, puis comparées avec les autres contenus présents dans la base. Les pages web sont alors classées et restituées par ordre de pertinence au moment où un internaute effectue une recherche.
Pour vérifier que votre site Internet est bien indexé par Google, tapez “site: www.mon-site.fr” dans la barre de recherche, en remplaçant “mon-site” par votre nom de domaine. Si vous voyez apparaître vos pages, c’est que les robots de Google sont déjà passés sur votre boutique et qu’ils continueront à la consulter régulièrement pour détecter les mises à jour.
Sachez qu’en général, les premières pages d’un site sont indexées dans la semaine qui suit sa mise en ligne. D’ici-là, vous pouvez “forcer” l’indexation de vos pages les plus importantes en soumettant leur URL à Google via la Search Console.
Une fois que votre site est indexé, comment faire en sorte que les robots le “valorisent” et le placent en tête des résultats ? Avec une stratégie de référencement adaptée pour répondre à leurs attentes !
En effet, les Google bots se basent sur plusieurs critères pour juger une page web :
Ses performances globales
- La fréquence de mise à jour
- La qualité du contenu publié
Le Page Rank (sa popularité) etc.
C’est donc sur ces axes qu’il vous faut concentrer vos efforts pour être positionné sur la première page des résultats Google. Un audit SEO vous permettra de préciser les améliorations à mener en priorité.
2. Optimisez la structure et les performances de votre site
Référencement 1ère page google
C’est la base indispensable à toute bonne stratégie SEO : sans une infrastructure fiable et évolutive, votre site aura très peu de chances d’être bien référencé. Google privilégie en effet les sites rapides, bien construits, avec une navigation fluide… tout ce qu'il faut pour faciliter la tâche aux internautes.
Voici quelques pistes pour améliorer la structure de votre site :
Facilitez la circulation des robots d’indexation, notamment en vérifiant que votre fichier robots.txt ne bloque pas l’accès à certaines URL. Pour en savoir plus, nous vous invitons à consulter l’aide Google à ce sujet.
Corrigez les erreurs 404 qui surviennent lorsqu’une page de votre site a été supprimée et non redirigée. Vous pouvez les repérer grâce à des outils comme Google Search Console.
Proposez une navigation claire et fluide : votre arborescence ne doit pas être trop profonde, c’est-à-dire que l’internaute ne doit pas cliquer plus de 4 ou 5 fois pour atteindre les différentes pages de votre site. Nous vous conseillons également de travailler votre maillage interne pour lui permettre d’accéder encore plus facilement à ce qu’il recherche.
Améliorez les performances de votre site afin de réduire le temps de chargement de vos pages et la vitesse d’affichage de vos contenus. Pour cela, vous pouvez mobiliser différents leviers : un hébergement adapté, la compression d'images, le paramétrage du back-office de votre CMS… Toutes ces stratégies sont détaillées dans notre article “Sécurité et performance : 5 bonnes pratiques pour optimiser votre site”.
Vérifiez que votre boutique est responsive, c’est-à-dire qu’elle s’affiche aussi bien sur mobile que sur ordinateur et tablette. Sachez que PayPlug propose plusieurs modèles de pages de paiement personnalisables et responsive !
Toutes ces optimisations vous permettront d’offrir une expérience client mémorable, atout indéniable pour l’algorithme de Google. Pour un diagnostic plus poussé, vous pouvez faire appel à une agence SEO qui vous donnera de précieux conseils sur les axes à améliorer.
Maintenant que vous avez la structure de votre site web, voyons ce que vous allez mettre dedans !
3. Choisissez les bons mots-clés
Une stratégie de mots-clés travaillée vous permettra d’améliorer votre référencement naturel, de générer du trafic vers votre site, mais surtout d’atteindre l’audience qualifiée que vous recherchez.
Vous devez toujours prendre en compte :
La pertinence du mot-clé par rapport à votre activité, vos objectifs et vos buyer. Son volume de recherche, pour ne pas mettre vos efforts sur une requête qui n’est jamais tapée par les internautes, la concurrence SEO, c’est-à-dire le nombre et la taille des sites déjà positionnés sur ce mot-clé.
Ce dernier point est primordial : en effet, inutile chercher à vous positionner sur l'expression “sac à main”, car vous serez en concurrence avec des géants du retail comme Zalando, les Galeries Lafayette, ASOS… Vos chances d’atteindre la première page des résultats sur cette requête seraient proches de 0 !
En revanche, si vous vous tournez vers des mots-clés de longue traîne (moins populaires mais aussi moins compétitifs), vous pourrez plus facilement atteindre vos objectifs, et cibler votre audience avec précision.
Pour trouver ces mots-clés, la technique la plus simple est d’utiliser les recherches associées Google. Commencez par taper une requête générique, comme “sac à main” :
Résultats de recherche
Scrollez ensuite la page des résultats jusqu’à la rubrique “Recherches associées” :
Recherches associéesVous aurez alors une sélection de mots-clés similaires, mais plus détaillés, qui peuvent être un point de départ pour votre stratégie de référencement web.
Mais vous pouvez aller encore plus loin : si vous cliquez par exemple sur “sac à main bandoulière”, vous verrez apparaître des recherches associées encore plus longues, donc encore plus ciblées et moins compétitives :
Recherches associées
Il s’agit de la méthode la plus rapide si vous débutez dans ce domaine, mais il existe bien d’autres manières de définir vos mots-clés !
Nous vous conseillons notamment de réaliser une analyse SEO concurrentielle pour trouver les requêtes adaptées à votre secteur d’activité tout en vous démarquant de vos concurrents.
Une fois votre champ sémantique défini, vous pourrez utiliser les mots-clés qu’il contient dans les URL de vos pages, l’alt text de vos images, les textes de votre page d’accueil, de vos fiches produits... de façon à vous référencer sur ces requêtes, tout en prenant garde à ne pas nuire à la qualité de vos contenus.
4. Proposez des contenus de qualité
Aujourd’hui plus que jamais, le contenu est roi dans le domaine du SEO ! En effet, Google accorde une importance croissante à la qualité et la pertinence des contenus web pour classer les sites.
Par “contenus”, comprenez les images, vidéos, infographies… mais surtout la rédaction web, facteur déterminant pour votre référencement naturel.
Pour être valorisé par Google, un contenu texte doit répondre à ces 3 critères :
Original, intéressant et de qualité : il faut qu'il soit unique, car Google pénalise les contenus dupliqués en désindexant les pages concernées. Lorsque vous rédigez vos textes, faites également attention aux fautes d’orthographe et de grammaire, et pensez toujours à vos lecteurs : s’ils prennent plaisir à vous lire et qu’ils trouvent toutes les réponses à leurs questions, c’est que votre contenu est réussi !
Concis et compréhensible : vos textes doivent être accessibles, et répondre à des requêtes précises. Vous pouvez vous appuyer sur l’une des règles d’or du SEO : 1 page = 1 mot-clé cible (à l’exception de la page d’accueil) !
Adapté aux exigences de Google : veillez à bien utiliser le balisage HTML, qui aidera les robots d’indexation à mieux se repérer dans vos contenus. De manière générale, faites en sorte d’optimiser les éléments métas (balises, meta description, URL…) en fonction de votre stratégie SEO.
Il est indispensable de publier régulièrement de nouveaux contenus, afin de montrer à Google que votre site est actif. En ce sens, il peut être judicieux de tenir un blog : il vous permettra de générer du trafic vers votre boutique et d’améliorer votre maillage interne.
Nous vous conseillons d’établir un calendrier éditorial et de vous y tenir, en publiant de façon hebdomadaire ou bimensuelle par exemple. Le jeu en vaut la chandelle, puisque Google récompense ces efforts par un meilleur référencement dans les résultats de recherche.
Enfin, vos articles de blog sont susceptibles d’être partagés sur des sites tiers et sur les réseaux sociaux. Or, comme nous allons le voir dans la partie suivante, les liens externes sont essentiels pour le référencement.
5. Établissez une stratégie de netlinking
Le netlinking est une stratégie qui consiste à augmenter le nombre de liens entrants (backlinks) vers votre boutique en ligne ou votre blog. C’est un aspect indispensable pour améliorer votre notoriété et votre positionnement, car Google privilégie dans son classement les sites avec de nombreuses références.
Comment obtenir ces backlinks ? Plusieurs options s’offrent à vous : vous pouvez collaborer avec des médias ou influenceurs pour qu’ils renvoient vers votre boutique, vous faire référencer sur le site de votre chambre de commerce locale, écrire des articles invités sur d’autres blogs… Le plus important, pour une stratégie de netlinking efficace, étant de cibler des sites web en lien avec votre secteur d’activité.
Pour résumer, vous devez penser votre stratégie de référencement naturel comme une pyramide : le socle est la base technique de votre site, qui soutient toutes les briques que nous avons évoquées pour améliorer votre positionnement (mots-clés, contenus, netlinking et réseaux sociaux).
COPIER-COLLER
les Emojis, Smileys pictogrammes sur vos réseaux sociaux
Emojis et Smileys
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Emoji drapeaux
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Emojis flèches, pictogrammes
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Émojis amour
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Emoticones personnes
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Emoticones gestes
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Emojis activités, sport & loisirs
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Emoticones nourriture
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Emoticones animaux
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Emoticones vêtements
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Emoticones transports
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Emoticones lieux, monuments, batiments
🌍 🌎 🌏 🌐 🗺️ 🗾 🏔️ ⛰️ 🗻 🏠 🏡 💒 🏢 🏣 🏤 🏥 🏦 🏨 🏩 🏪 🏫 🏬 🏭 🏯 🏰 🗼 🗽 ⛪🕋 ⛲ ⛺ 🏙️ 🎠 🎡 🎢 🎪 ⛳ 🗿
Emoticones ordinateur, bureau
💺 🎮 🕹️ 🎰 📱 📲 ☎️ 📞 📟 📠 💻💾 📔 📕 📖 📗 📘 📙 📚 📓 📒 📃 📄 📰 🗞️ 📑 🔖 💰 💴 💵 💶 💷 💸 💳 💹 💱 💌 📧 📨 📩 📤 📥 📦 📫 📪 📬 📭 📮📝 💼 📁 📂 🗂️ 📅 📆📇 📈 📉 📊 📋 📌 📍 📎 🖇️ 📏 📐 🗃️ 🗄️ 🗑️
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Emoticones météo
💦 🌋 🌁 🌃 🌄 🌅 🌆 🌇 🌉 🌌 🌑 🌒 🌓 🌔 🌕 🌖 🌗 🌘 🌙 🌚 🌛 🌜 🌡️ 🌝 🌞 🔅 🔆 🌟 🌠 ⭐ ✨ ☁️ ⛅ 🌀 🌈 ⛄ 💧 🌊 🎑 💨 💫
Emoticones horaires, horloge
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Textes
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Insérer texte en gras rendez-vous sur le site https://qaz.wtf/u/convert.cgi?text= et ensuite copier-coller dans vos publications.
ENTRETIEN MAC
5 grands problèmes de maintenance sous Mac que ce site vous aidera à régler :
Mac Trop Lent ?
Votre Macintosh est lent et tourne au ralenti ?
Votre productivité en prend un coup ?
Marre de patienter entre chaque opération ?
Nous avons compilé pour vous une liste de solutions pour commencer à diagnostiquer les éventuels problèmes.
Mac Qui Plante ?
Si votre Mac plante ou gèle et que vous voyez apparaitre la fameuse balle de volley multicolore, vous ne devriez plus pouvoir utiliser ni votre clavier ni votre souris ! Voici comment diagnostiquer et résoudre les problèmes de plantage.
Mac Avec Virus ?
Un Macintosh souffrant de virus peut être la cause de vos soucis de perte de performance ! Bien que moins ciblés par les attaques en tout genre, le nombre d’utilisateurs Mac étant en augmentation, les pirates ciblent de plus en plus le système MacOS. Nous avons testé pour vous les meilleurs antivirus mac du marché !
Problème Espace Disque ?
Nous vous montrons comment libérer facilement de l’espace disque sur votre Mac pour récupérer rapidement vos performances ! Retrouvez par ailleurs les logiciels que nous recommandons pour automatiser les tâches de maintenance et gagner un temps précieux.
Problème De Mémoire ?
Il est important de comprendre comment fonctionne la mémoire sous Mac pour pouvoir optimiser son utilisation ainsi que les performances de votre installation. Retrouvez nos conseils pour libérer un maximum de mémoire sur votre Macintosh.
Comment nettoyer son macintosh ?
Tour rapide des mesures à mettre en place pour garder un macintosh sain :
Mettez régulièrement à jour MacOS (attention tout de même aux grosses MAJ de versions susceptibles de créer des problèmes de compatibilité avec vos logiciels).
Débarrassez-vous des logiciels ou fichiers inutiles et inutilisés
Faites de la place sur votre disque dur. Faites du tri sur votre bureau, dans votre corbeille, votre fichier téléchargement, vos documents, images, emails, vidéos… et pensez à vider votre corbeille une fois le tri fait !
Débarrassez-vous de vos fichiers en doubles. Il est important ici de désencombrer au maximum votre disque dur.
Par ici pour supprimer les doublons sous Mac !
Limitez le nombre d’applications qui se lancent automatiquement au démarrage.
Pour faire cela, rendez vous dans vos réglages système > Utilisateurs et Groupes > Ouverture.
Désactivez les fonctions qui vous sont inutiles comme les effets visuels et certaines préférences disponibles dans les réglages système.
Optimisez votre Finder et Safari.
Lancez Safari et rendez-vous dans les préférences pour accéder aux extensions et aux réglages avancés. Activez les options du menu développer dans les réglages avancés pour avoir un meilleur contrôle sur vos options safari (comme la possibilité de vider manuellement son cache).
Lancez votre Finder et rendez vous dans les préférences pour que tout nouveau Finder ne s’ouvre pas sur votre dossier avec tous les fichiers !
Désactivez les services que vous n’utilisez pas comme le Bluetooth, tout ce qui est accès universel, Filevault, langages inutiles, identification vocale, Siri.
En GRAPHISME𝗚𝗥𝗔𝗣𝗛𝗜𝗦𝗠𝗘, comme dans tout domaine artistique et créatif, il existe plusieurs styles. Il est important de savoir les différencier et les reconnaitre si vous voulez quelque chose de précis pour votre identité visuelle
FLAT DESIGN ✋ 👌 👍 👎 ✊ 👊
est un style assez minimaliste, qui se caractérise par des aplats de couleurs vives. On y utilise des formes simples et géométriques
CARTOON𝗖𝗔𝗥𝗧𝗢𝗢𝗡 ✋ 👌 👍 👎 ✊ 👊
peut faire penser au flat design, car on y utilise des couleurs vives et des formes relativement simples. Mais le but de ce style est vraiment de faire une illustration qui fait penser aux dessins animés. Il donne un style vraiment unique et fun à une marque.
ʟɪɴᴇ ᴀʀᴛ ✋ 👌 👍 👎 ✊ 👊
est un style où on utilise généralement une seule ligne pour faire le dessin. Cela permet des visuels vraiment stylisés et uniques. C’est assez tendance en ce moment, puisque ça donne une image authentique en restant très simple.
③Ⓓ ✋ 👌 👍 👎 ✊ 👊
Ce style graphique cherche à donner une impression de relief grâce à l’utilisation des dégradés, en simulant l’ombre et la lumière.
LES MÉTIERS
Chef de Publicité
Le chef de publicité élabore, met en oeuvre et coordonne la stratégie commerciale de l’agence, de la création à la production de la campagne publicitaire qui lui est confiée. Principal collaborateur du chef de groupe ou du directeur de clientèle, il assure la gestion d’un ou plusieurs budgets, élabore une stratégie de communication (avec le planning stratégique pour les grandes structures) : la cible visée par la campagne, l’axe et les thèmes de la publicité, la teneur du message et la ventilation du budget par médias. Il contribue aux réflexions en amont et au brief des créatifs en prévision du lancement des campagnes; coordonne les services internes et externes de l’agence qui interviennent sur les plans techniques et créatifs et dans l’élaborationdes campagnes, rédige les prévisions budgétaires pour validation par le chef de groupe et/ou le directeur commercial, contribue à la vente des créations et recommandations et des devis de réalisation de l’agence ; administre les budgets par campagnes publicitaires dont il a la charge, gère le ROI de l’annonceur et la marge de l’agence, tient à jour en permanence le fact book des clients et l’analyse de la concurrence, rédige les comptes rendus de réunions et les projects lists.
Directeur Artistique
Généralement structuré en binôme avec un concepteur-rédacteur, le directeur artistique conçoit et met en forme des messages publicitaires, à partir du brief créatif, reprenant les axes de campagne qui ont été définis par le planning stratégique et/ ou les commerciaux.
Effectue et analyse en permanence la veille concurrentielle en s’appuyant sur le brief de l’équipe commerciale et/ou du directeur de création. Il conçoit et
recommande avec le concepteur-rédacteur un ou plusieurs thèmes de campagne, coordonne avec le concepteur rédacteur
la réalisation de la campagne et en contrôle l’exécution graphique, sonore et audiovisuelle. Il est responsable du visuel créatif (conception, réalisation). Enfin, il supervise et contrôle les assistants auxquels il délègue des travaux de réalisation.
Concepteur Rédacteur
Il s’agit du deuxième binôme du directeur artistique. Le concepteur-rédacteur conçoit et rédige des messages publicitaires uniques à partir des axes de campagnes définis dans le brief créatif par les commerciaux et le planning stratégique.
Webmaster
Le webmaster coordonne les efforts de toute une équipe pour construire un site ou des projets Internet. Il définit les rubriques d’un site, participe à la mise au point de la charte graphique et réalise les pages web. L’animation du site, son hébergement et son référencement lui incombent également. On lui demande en outre de créer et gérer les réseaux sociaux, forums, mailing lists, concours et réponses aux internautes.
Graphiste
Que ce soit au niveau des affiches, logos, packaging, etc... L’empreinte des graphistes est partout : dans la presse et dans l’édition en passant par la publicité et le design. Leur leitmotiv : créer l’image qui captera le regard et séduira le public.
Planneur Stratégique
A la base, ce métier faisait partie intégrante du département études de l’agence. Actuellement, il tend à s’en distinguer de plus en plus, en devenant une fonction à part entière, managé par le directeur du planning stratégique.
Ses objectifs principaux sont une veille économique et marketing des marchés, des analyses stratégiques fines afin d’enrichir la réflexion des équipes en amont (commercial) et en aval (création). C’est l’unité «réflexion» de l’agence. Le planneur est l’interface entre les commerciaux et les créatifs. Il travaille très en amont sur l’aspect prospectif et agit en véritable stratège. Sa fonction est de travailler sur l’architecture et sur le développement du
produit. Il offre des clefs d’accès aux créatif afin que ceux-ci puissent faire travailler leur imaginaire. Par ailleurs, le planneur doit intégrer les éléments essentiels de la marque pour la mettre en valeur, afin d’établir avec les consommateurs des liens profonds, riches et durables. Il se doit de comprendre la culture de la marque afin de la faire vivre et de lui permettre de se développer.
Media Planer
Le media planer est chargé d’élaborer le « plan médias » qui prévoit et organise le passage des campagnes dans les différents supports. C’est un expert qui travaille à partir de mesures précises. Ses outils principaux sont les statistiques, les études de marché, les tarifs des supports. Il manie donc les chiffres avec agilité mais doit également prendre en compte la spécificité du produit à promouvoir : connaître le public à toucher, déterminer le choix d’un média plutôt qu’un autre (presse ou télé, quotidien ou hebdomadaire...), mais également tenir compte des contraintes économiques : calculer le prix de revient d’une campagne publicitaire et estimer son rendement. Le media planer détermine, en tenant compte du public à toucher, les meilleures stratégies médias en vue de l’optimisation de la performance de la campagne. Il doit donc procéder à une analyse fine des différents supports (presse, radio, affichage, télévision, cinéma). Il analyse les informations disponibles concernant le produit à lancer, sa place sur le marché, les campagnes publicitaires entreprises par les concurrents ainsi que les informations relatives aux publics auxquels le produit est destiné et notamment les niveaux d’audience selon les supports. Il peut faire appel à des organismes extérieurs pour évaluer la clientèle potentielle. Il travaille en collaboration avec les commerciaux de l’agence et de l’annonceur afin de préciser les objectifs de la campagne, son budget et la politique commerciale à suivre. En outre, il rédige le plan médias, document de synthèse qui comporte un certain nombre d’éléments : un rappel des caractéristiques du produit (nature, marché réel et potentiel), la position publicitaire face aux concurrents et la stratégie média (médias et supports choisis, fréquence des messages et calendrier de leurs parutions, espaces retenus).
Le Webdesign a considérablement évolué au cours des 10 dernières années. Certaines techniques de conception longtemps considérées comme des normes sont maintenant devenues des erreurs à ne pas commettre. Tout bon webdesigner et toute agence web digne de ce nom se doit d’anticiper ces changements pour éviter les impairs dans la conception de votre site internet. Voici les 8 erreurs à éviter en webdesign les plus courantes :
Une navigation inadaptée
Si l’utilisateur ne peut pas naviguer facilement sur votre site celui-ci ne vous sera pas d’une grande utilité. La navigation est un point essentiel du succès des sites. Pensez à proposer différents moyens de navigations selon la plateforme utilisée. Vos menus doivent être pensés et testés de manière fonctionnelle et logique afin que l’utilisateur appréhende rapidement son fonctionnement sans jamais se perdre. Aujourd’hui la méthode de conception des sites se fait en « mobile first » c’est à dire que l’on se focalise sur le mobile en priorité avant de travailler la version pc « classique ».
Pas de Responsive webdesign
Beaucoup de designers oublient de faire des sites Web adaptés… même aujourd’hui ! Assurez-vous que votre site Web est adaptable sur toutes les plateformes. Vous risquez sinon de perdre une grande partie du trafic puisque les visites sur mobiles en représentent presque la moitié !
Des formulaires trop longs
Des études ont démontré que des formulaires plus simples et plus courts obtiennent de meilleurs résultats en terme de conversion. Allez à l’essentiel sinon vous risquez de décourager l’internaute.
Mauvais choix dans la typographie
Les concepteurs se concentrent souvent sur les visuels, mais pas assez sur le choix de la typographie. Veillez à ce que votre typo reste lisible et en phase avec votre charte graphique. Je déconseille la justification du texte qui est encore mal gérée sur le web par rapport au papier et l’utilisation de plus de 3 familles de polices de caractères. Aujourd’hui, on peut utiliser de nombreuses webfont et jouer sur des tailles plus grandes pour le confort de lecture.
Trop d’animations
Bon ok, nous aimons tous les animations sur un site : ça le rend plus attrayant. Mais n’en faites pas trop ! Si votre page est trop encombrée par ces effets, vous observerez un taux de rebond plus élevé, un temps de chargement plus long et une baisse significative dans les conversions. Toujours faire simple pour ne pas noyer vos visiteurs dans des transitions et animations gadgets inutiles. Trop d’effets tue l’effet…
Surcharge visuelle
Trouver l’équilibre entre quantité de visuels et de texte sur une page web est important pour offrir une information claire. Nous avons besoin de points de repères visuels pour nous guider et nous aider (inciter parfois) à effectuer des actions rapides et efficaces sur le site. Trop d’éléments mal répartis, c’est l’assurance de perdre ses visiteurs. Utilisez les « blancs tournants » (espaces de respiration entre les éléments permettant de mieux les appréhender visuellement). On peut faire simple aujourd’hui en hiérarchisant l’information en plusieurs pages ou bien en utilisant des éléments qui aident à classer l’information (blocs accordéons, onglets, système d’ouverture fermeture…). Less is more.
Pas de moteur de recherche
Les champs de recherche facilite la navigation afin de trouver une information, un produit ou un service aisément. Il est d’autant plus important si le site en question possèdent de nombreuses pages et donc une arborescence complexe. Si vous avez un mini site de 4 pages, un moteur n’est pas une obligation à condition que la navigation soit claire.
Page 404 non personnalisée
Développez votre propre page 404 (page d’erreur lorsque le contenu recherché n’existe plus). Cette page vous aidera à réduire le taux de rebond si vous y mettez des directives claires comme un moyen de trouver ce que l’internaute recherchait au départ. Il faut toujours inclure un lien retour vers la page d’accueil pour revenir à la case départ et un moteur de recherche pour inciter l’internaute à trouver l’information souhaitée.
Beaucoup d’entreprises ne prennent pas encore l’initiative de s’afficher sur les réseaux sociaux. Pour des raisons variées, certaines sont encore réticentes à l’usage de ces plateformes. Pourtant, les réseaux sociaux sont des leviers importants dans la stratégie marketing, que ce soit pour développer la notoriété de votre marque ou pour la vendre.
Les réseaux sociaux sont l’endroit idéal pour prospecter
Les réseaux sociaux ne sont plus ce qu’ils sont avant. Ils sont devenus le lieu propice pour partir à la chasse de nouveaux clients ou pour fidéliser ceux que vous avez déjà. Selon plusieurs études, environ 44% des internautes sont présents sur un réseau social. Ce qui représente environ 3,4 milliards d’humains : un vaste marché qui vous permettra de bien développer votre marque.
Le meilleur moyen pour faire de la veille concurrentielle
Si vous n’êtes pas encore présent sur les réseaux sociaux, sachez que vos concurrents, eux, ils le sont. En étant présent sur une plateforme sociale, vous pouvez non seulement voir ce que vos concurrents proposent, mais aussi travailler votre propre stratégie marketing en fonction de ce qui se passe sur ces plateformes. Cela vous permet par la suite d’établir votre stratégie marketing comme il le faut.
Les messageries instantanées des réseaux sociaux, un véritable potentiel
Avant, il était difficile de communiquer avec ses clients, de prendre le temps d’avoir leur retour sur un produit ou un service. Ce qui n’est plus le cas grâce aux messageries instantanées proposées par les réseaux sociaux. Désormais, il est possible de communiquer en temps réel avec vos clients. Ces boîtes de dialogue permettent d’avoir un échange réel avec le client pour mieux les connaitre et les fidéliser.
Chat Instantané Client Entreprise
La meilleure stratégie pour optimiser les conversions
En plus d’être une plateforme de discussion, les réseaux sociaux sont aussi des espaces publicitaires. Ils permettent de promouvoir votre entreprise, mais aussi d’attirer du trafic sur votre site. Vous pouvez facilement créer et mettre en œuvre vos stratégies marketing, que ce soit pour lancer un produit ou encore faire des campagnes et bien sûr vendre.
De nombreuses ressources à exploiter
Les réseaux sociaux proposent de nombreuses ressources exploitables pour promouvoir votre entreprise et la faire connaître rapidement. C’est un système viral qui prend quelques secondes pour générer du trafic ou de clic. Le format vidéo par exemple, est le format le plus utilisé sur ces plateformes, mais aussi celui qui génère le plus taux de réactivité chez les internautes.
L’algorithme d’Instagram étudie de nombreux critères pour déterminer l’ordre d’affichage du contenu présenté dans son fil d’actualité.
Il existe trois facteurs principaux :
L’intérêt
La fraîcheur
La relation
Auquel s’ajoutent trois facteurs secondaires:
La fréquence
Le nombre d’abonnements
L’usage
Regardons de plus près chaque facteur en détail.
L’intérêt
Instagram vous présente le contenu identifié par l’algorithme comme étant le plus susceptible de vous intéresser. Pour accomplir cette tâche, l’algorithme étudie probablement les catégories de contenu avec lesquelles vous interagissez maintenant ou avez intéragi dans le passé. Ainsi, si vous aimez ou commentez des publications en relation avec la photographie, le fil d’actualité devrait vous présenter plus de contenu avec cette thématique lorsqu’elle sera abordée par les comptes que vous suivez. Difficile de savoir exactement comment Instagram détermine la catégorie d’une publication. Mais on peut supposer que la plateforme sociale étudie par exemple : La légende et/ou les hashtags qui accompagne(nt) l’élément visuel
Les photos pour une interprétation grâce à une technologie de reconnaissance spécifique.
La fraîcheur : La fraîcheur s’attache à mettre en avant un contenu partagé récemment par rapport à celui qui remonte à plusieurs jours ou semaines.
Par exemple, vous pourriez être plus intéressé par les photos du mariage de votre meilleur ami qui a lieu hier, plutôt que par le lancement d’un produit de votre marque préférée diffusé dans votre fil d’actualité en raison d’un engagement favorable depuis plusieurs jours. Instagram analyse donc depuis combien de temps une publication a été publiée pour privilégier le contenu récent. Cependant, les résultats peuvent varier selon le moment de votre dernière connexion.
La relation
Si vous interagissez régulièrement avec un compte en particulier, vous établissez une connexion plus forte avec ce compte plutôt qu’avec les autres utilisateurs. Pour évaluer le rapport entre deux comptes, les signaux étudiés sont : Les interactions avec le contenu du compte (ex: aimer, commenter, envoyer via Direct, sauvegarder). Les messages privés. L’utilisation de la fonctionnalité recherche pour trouver le compte. L’existence d’une relation dans la vie réelle. Instagram prend donc en compte la relation pour distribuer dans votre fil d’actualité plus de contenu des comptes avec lesquels vous avez une connexion plus étroite.
La fréquence
Comme nous l’avons vu auparavant, Instagram essaie de vous présenter les publications les plus susceptibles de vous intéresser depuis votre dernière visite. L’ordre d’affichage des publications est toutefois modifié selon votre rythme de consultation. En effet, le fil d’actualité ordonne le contenu de manière différente si vous ouvrez l’application 4 fois par heure ou 1 fois tous les jours. Sachez qu’à terme, il est possible que votre fil d’actualité s’approche davantage du mode antichronologique lorsque vous vous connectez très régulièrement.
Les abonnements
Si vous êtes abonné à de nombreux comptes, Instagram introduit des publications plus variées dans votre fil d’actualité en terme d’auteurs.
Vous apercevez de ce fait plus de contenu publié par des comptes différents. Et vous voyez alors moins de contenu provenant d’utilisateurs spécifiques. De même, vous n’apercevez pas non plus toutes les publications d’un compte particulier. Par contre, si vous êtes abonné à peu de comptes, vous découvrez plus de publications de vos amis proches, votre famille ou vos comptes préférés.
L’usage
La durée de vos sessions influe aussi sur la distribution des publications servies. Si vous passez beaucoup de temps sur Instagram, le fil d’actualité affiche du contenu publié plus loin dans son catalogue. Alors que si votre consultation est moins assidue, vous voyez en priorité les meilleures publications identifiées par l’algorithme d’Instagram.
Autres considérations sur l’algorithme d’Instagram
Maintenant que nous avons étudié les facteurs principaux et secondaires de l’algorithme d’Instagram, voyons quelles sont les autres informations officielles apportées par la plateforme. L’algorithme n’a pas de traitement préférentiel quant au type de la publication soit la photo ou la vidéo. En revanche, si vous engagez plus sur un type de publication, alors vous recevez plus souvent dans votre fil d’actualité ce type de publication.
Le fil d’actualité ne favorise pas les utilisateurs qui utilisent les Stories, la vidéo en direct ou toute autre fonctionnalité native.
Vous n’êtes pas sanctionné si votre cadence de publication est trop élevée. Toutefois, l’algorithme d’Instagram peut ajouter des publications d’autres utilisateurs pour séparer vos publications. L’algorithme ne favorise pas les comptes personnels ou les comptes professionnels: ils sont traités de manière égale. Le « shadow banning », soit une pratique qui consiste à rendre invisibles certaines publications d’un auteur spécifique, n’existe pas. Instagram ne cache pas les publications d’un utilisateur car il utilise trop de hashtags par exemple.
Comment optimiser vos publications pour l’algorithme d’Instagram ?
Terminons par 6 conseils pratiques pour optimiser vos publications afin d’augmenter la visibilité de votre contenu. Privilégiez la qualité plutôt que la quantité. La durée de vie moyenne d’une publication sur les médias sociaux est généralement courte. Souvent, il vaut mieux raisonner ici en terme d’heures plutôt que de jours. Cette caractéristique pousse les entreprises à augmenter le nombre de leurs publications.
Lorsqu’un algorithme est implémenté, le contenu qui génère le plus d’engagement est souvent mis en avant. Cette approche permet d’améliorer l’expérience utilisateur et d’augmenter le temps de rétention sur la plateforme. Plus vous créez du contenu pertinent à forte valeur ajoutée avec consistance, meilleures sont vos chances de profiter positivement de l’algorithme d’Instagram. Publiez lorsque votre audience est la plus active. Quand vous partagez une publication, Instagram analyse l’engagement reçu: j’aime, commentaires, partages en message privé etc. Plus cet engagement arrive rapidement, plus il montre que votre contenu intéresse les utilisateurs. Pour identifier les jours et les heures où vos abonnés sont les plus actifs, rendez-vous dans les statistiques de votre compte Instagram et étudiez la rubrique Audience. Travaillez vos publications de manière à retenir votre audience.
L’algorithme d’Instagram n’étudie pas seulement l’engagement mais aussi le temps passé sur votre contenu. Un utilisateur peut très bien choisir de ne pas engager avec votre publication sans pour autant que ce manque d’action montre obligatoirement un désintérêt pour votre message.
Vous devez donc prendre vos dispositions pour ajouter du contexte à vos publications et utiliser la légende à bon escient.
Augmentez votre découvrabilité avec des hashtags pertinents. Les hashtags sont une fonctionnalité importante sur Instagram qui permettent de découvrir des publications, y compris de comptes non suivis, en relation avec une thématique. Si vous souhaitez augmenter la portée de votre contenu, accompagnez chacune de vos publications avec des hashtags pertinents. Sachez que vous pouvez en utiliser 30 au maximum. Mais là encore, préférez la qualité à la quantité. Capitalisez sur les Stories pour engager avec votre communauté. Les personnes avec lesquelles vous engagez sur une base régulière verront davantage votre contenu. Si vous suivez mes webinars sur Instagram, vous savez que je suis très fan de l’utilisation des Stories Instagram pour créer de l’engagement. Bien que les entreprises sont souvent réticentes à utiliser la vidéo en direct, il s’agit cependant d’un excellent moyen pour créer de la proximité avec votre audience. Par ailleurs, n’hésitez pas à explorer les sondages et les questions.
Partagez vos publications dans les Stories.
Les Stories constituent un 2ème point d’entrée pour votre contenu sur Instagram alors pourquoi s’en priver? Vous pouvez très bien utiliser les Stories comme pour un système de vase communicant avec vos publications. Cette année, Instagram a créé une fonctionnalité qui permet de partager une de vos publications dans une Storie en une pression du doigt. Pour cela, il vous suffit d’appuyer sur l’avion en papier situé en-dessous de la publication choisie et de sélectionner « Ajouter une publication à votre Story ». Et voilà ! Si l’opération reste très simple, n’oubliez pas de contextualiser votre Story afin d’inciter les utilisateurs à découvrir votre publication.
Conclusion
Instagram présente encore aujourd’hui des opportunités pour obtenir une portée organique intéressante sans qu’il soit nécessaire de faire de la publicité, contrairement à Facebook par exemple. Si vous souhaitez tirer le meilleur parti de l’algorithme d’Instagram, vous devez trouver des stratégies pour augmenter le temps passé sur vos publications, accroître l’engagement sur votre contenu, créer une véritable relation authentique avec votre communauté, acquérir de nouveaux abonnés à partir de vos publications ou encore amplifier la visibilité de vos messages. Il est intéressant de constater que certains critères pris en compte par l’algorithme d’Instagram rendront plus difficiles l’utilisation de mauvaises pratiques par des professionnels à la recherche de raccourcis pour atteindre leurs objectifs.
MAISON & OBJET, un acteur international de l’univers de la maison, de la décoration, de l'architecture, du design et des tendances à travers ses événements et sa plateforme digitale.
Exposition tendances, talents awards, conférences
Fubiz, un blog d'art et de design, est un exemple d'un design vraiment élégant qui comprend également une personnalisation cool.
Près du haut de la page d'accueil du blog, les lecteurs peuvent faire défiler les articles "mis en évidence". En dessous se trouve le Creativity Finder, où les visiteurs peuvent sélectionner le personnage choisi - de "Art Lover" à "Freelance" - l'emplacement et le type de contenu qu'ils recherchent. De là, les lecteurs peuvent parcourir le contenu qui leur est spécifiquement destiné.
Nous ne pouvons pas nous empêcher d’aimer l’image d’en-tête aussi. Il utilise une psychologie appelée "esprit bleu", qui a découvert que la vue de l'eau libre peut naturellement nous attirer. En l'utilisant dans un schéma de conception, Fubiz est en mesure d'attirer visuellement les visiteurs vers son contenu.
Instagram dont la première version était lancée en 2010 appartient aujourd’hui à Facebook. Racheté pour $1 milliard environ en 2012 par le géant de Palo Alto, le réseau de partage d’images n’a depuis pas cessé de croître. Il compte aujourd’hui 500 millions d’utilisateurs actifs et et séduit tous les publics. Sur le blog, nous nous intéressons à l’application et ses évolutions ainsi qu’aux apps qui naissent autour d’Instagram : Boomerang, Hyperlapse, ou encore Layout. Nous vous partageons les derniers chiffres d’utilisation, les statistiques d’usage ou encore les études sur la performance des publications. Nous nous intéressons au lancement de nouvelles fonctionnalités, ainsi qu’aux évolutions des formats publicitaires qui deviennent de plus en plus importants. Nous partageons aussi les bonnes pratiques de marques ainsi que des outils pour aider les community managers à utiliser le réseau.
Instagram : la fin du nombre de likes en cours de déploiement en France
La fin des likes sur Instagram se précise encore un peu plus. La phase de tests est désormais étendue au monde entier, y compris la France.
Après les USA en début de semaine, c’est au tour du reste du monde d’expérimenter la fin des likes. Instagram vient en effet de confirmer que la phase de tests était en déploiement partout dans le monde dès maintenant. Le but de cette manœuvre ? Permettre aux utilisateurs d’aimer et partager ce qu’ils aiment, sans pression du like. On peut fortement douter que cela change quoi que ce soit au bien-être des utilisateurs, mais c’est un axe de communication fort pour Instagram et pour Facebook.
Les couleurs sont omniprésentes autour de nous, elles nous insufflent des états d'esprit, des sentiments, elles nous donnent la force d'avancer ou nous enfoncent dans un mutisme profond.
Les blogs artistiques de design s’avèrent être d’une grande utilité quand vous travaillez dans le domaine du graphisme. Après tout, ça arrive tellement souvent de perdre sa motivation au milieu d’un projet et de devoir recommencer à zéro. Mais pas de panique ! Afin de répondre à vos besoins d’inspiration, nous avons fouiné dans tous les recoins du web pour vous proposer les meilleurs blogs design qui existent.
Logo, Illustration, Posters & livres, Packaging, Typographie
Le site vise à partager leurs découvertes artistiques car selon les deux graphistes: « avoir une culture artistique large joue un rôle important dans la qualité et la diversité de notre travail. Du coup, on retrouve une véritable diversité dans les partages, avec des sections bien fournies en illustration et design graphique. On recommande chaudement cette référence, le partage régulier de tous ces travaux artistiques est une rélle source à la fois de plaisir et d’inspiration pour notre plus grand plaisir !
Comment fonctionne Flexbox Layout CSS ?
Organiser les éléments CSS avec flex
Dans l’état actuel de notre code ci-dessus, les boîtes à l’intérieur de “nom-unique” sont empilées en colonne. Un ajout va changer les choses :
#nom-unique {
border: 3px solid blue;
display: flex;
lex-flow: row-reverse wrap;
}
Ainsi, non seulement les boites s’alignent horizontalement, mais elles le font dans le sens inverse, avec leur taille adaptée à leur contenu. Nous pouvons retrouver l’affichage en colonne avec la valeur column pour la propriété flex-flow. Vous avez également les valeurs : row et column-reverse.
A noter que flex-flow correspond à 2 propriétés réunies : flex-direction et flex-wrap. C’est pourquoi il il y a un espace. Par défaut, la seconde valeur est paramétrée sur nowrap : si les boites débordent du conteneur, elles ne retournent tout de même pas à la ligne. Ici, avec wrap, elles iront docilement à la ligne.
Comme le laisse penser le titre de cet article, dorénavant, grâce à Flex, on va pouvoir justifier et organiser les éléments exactement comme on le souhaite.
Pour cela, nous allons utiliser la propriété justify-content qui peut se voir attribuer les valeurs :
flex-start
flex-end
center
space-between
space-around
Une autre propriété utilise ces valeurs pour aligner le contenu lorsqu’il y a plusieurs lignes : align-content.
Vous pouvez également attribuer ces mêmes valeurs à la propriété align-items pour les aligner sur l’axe secondaire, soit l’axe vertical sur une direction row, l’axe horizontal sur celle en colonne. Cette propriété a également 2 autres valeurs : stretch (celle par défaut) qui étire pour remplir le conteneur, et baseline qui les aligne sur le texte.
Digital Painting : 26 packs de brushes Photoshop gratuits au top
Vous apprécierez tout particulièrement ces brushes Photoshop gratuites si vous faites du digital painting ou du concept art.
Bon nombre de packs sélectionnés ici rassemblent les brushes qui sont utilisés régulièrement par des habitués du digital painting, et vous pouvez même apercevoir ces brushes utilisés dans quelques créations.
Vous pouvez réutiliser ces brushes tels quels dans vos propres créations ou bien vous en inspirer pour créer votre propre collection personnelle !
https://fenris31.deviantart.com/art/Fenris-Brush-Pack-V02-499640512
LES TENDANCES
1983 est selon son auteur un « journal/scrapbook » sur le design. Sur ce blog, Kenny Wan, graphic/web designer et photographe amateur vous présente ses découvertes et ses coups de cœur. Les lecteurs peuvent participer en envoyant par mail ce qu’ils souhaitent proposer.
Abduzeedo est le blog de Fabio Sasso, un designer Brésilien. Si vous souhaitez suivre les tendances en matière de création graphique et de web design, c’est vraiment un site à mettre dans vos favoris. En plus d’articles fort intéressant, vous trouverez tous les jours un post intitulé « Daily Inspiration » qui présente les coups de cœur des auteurs du blog mais également des lecteurs. Vous pouvez vous-même poster sur ce blog ou via Twitter après vous être inscrit. Je vous conseille donc vivement d’aller faire un tour sur ce site qui est vite devenu pour moi une référence.
Behance Network est un réseau permettant aux créatifs de présenter leur travaux mais également de créer des groupes de travail. Si vous êtes invités par un utilisateur de Behance, vous pourrez utiliser les outils mis à disposition pour créer votre portfolio sur le site. Sans invitation, vous pourrez toutefois visualiser les œuvres présentées. C’est un très bon endroit pour suivre les tendances… Il existe également le Behance Magazine et le Creatives Outfitter (online shop).
FICHIERS SOURCES CREATION GRAPHIQUE
http://kitdesurvie.metiers-graphiques.fr/articles/dois-je-livrer-mes-fichiers-sources
Les fichiers sources, ou documents de travail, sont ceux qui vous ont permis de construire le produit commandé par votre client.
Si vous travaillez dans le print ou la charte graphique, ce sont les .psd, les .ai, les fichiers InDesign, etc. ; si vous travaillez sur un site Flash1 ce sont les .fla ; si vous travaillez en illustration ou en anim. ce sont les croquis et recherches personnages, etc.
Beaucoup de clients semblent tenir pour acquis le fait que n’importe quel travail effectué englobe automatiquement la livraison de ces sources. C’est pourtant loin d’être le cas.
Quand on achète une voiture, le concessionnaire ne donne pas les plans de construction, documents techniques et coordonnées des fournisseurs qui vont avec. Il vend une voiture, pas la science d’en fabriquer soi-même.
Exactement de la même manière, en tant que graphiste ce que vous vendez c’est un produit de communication, tel que défini dans votre devis, en aucun cas l’expertise technique et les outils nécessaires à modifier ce produit ou en créer de nouveaux.
Vos sources ont une valeur marchande, tout comme le produit que vous vendez, indépendamment de celui-ci, et ce pour deux raisons.
Livrer ses sources c’est donner la possibilité à votre client de se passer de vos services à l’avenir. De faire des modifications, de créer de nouveaux produits ou d’en faire créer à partir de votre travail par un autre prestataire, et au final d’en tirer de nouvelles exploitations. Ces outils sont donc source potentielle de profits supplémentaires pour vos clients et un manque à gagner potentiel pour vous. Nouveaux profits pour lesquels vous devez être rémunéré, manque à gagner qui doit être compensé.
Au-delà de la simple question de posséder ces fichiers, se pose celle encore plus importante du droit de s’en servir. On le sait2, chaque travail de création nécessite la cession des droits d’auteur correspondant à son exploitation légale. Ces droits sont clairement définis et limités à un usage précis, et une rémunération proportionnelle est mise en place.
Si vous avez vendu à votre client la création d’un produit A et les droits qui vont avec, qu’il ait les fichiers sources ou non ne change rien : il n’a aucun droit de les utiliser pour un produit B, ou pour une exploitation plus large que prévue du produit A3.
Dès lors pourquoi les exiger puisqu’ils sont inutiles ? Si vous livrez les sources à votre client, vous devez lui céder les droits de s’en servir, et ces droits, évidemment, se vendent.
Maintenant que tout ça est bien clair, il existe concernant les sources trois contextes de travail et donc trois façons d’agir, les voici détaillés ici.
Vous créez et livrez un produit fini
Le cas de figure le plus fréquent en freelance, surtout quand on travaille pour des clients directs : l’illustration définitive d’une affiche, un site Internet complet, une animation de présentation… tous sont des produits de communication, vendus comme tels et destinés à un usage précis.
Vous n’avez dans ce cas aucune obligation de livrer les sources, même de manière implicite, à votre client, pour les raisons évoquées plus haut.
S’il voulait les sources et le droit d’exploiter votre travail à de nouveaux usages, il fallait le demander au moment du devis pour que vous puissiez adapter votre tarif en conséquence.
S’il les exige tout à coup à la fin du contrat, alors vous devez faire un avenant à ce contrat et facturer l’extension de droits.
En résumé, vendre ces sources et leurs droits d’utilisation, à supposer d’ailleurs que vous l’acceptiez, ce qui n’est pas obligatoire non plus : vous pouvez tout à fait préférer garder la main sur le projet et proposer à votre client de vous charger vous-même à chaque fois de ses nouveaux besoins, à vous de voir.
Vous créez dans une optique de déclinaison
Si par exemple vous endossez le rôle d’un directeur artistique chargé de la charte graphique d’un site qui sera intégré par les équipes de production, ou celle d’une entreprise, destinée ensuite à être déclinée sur divers supports et formats, il est évident que livrer les fichiers sources fait partie de la prestation, puisque c’est la finalité de votre travail.
Par contre, étant auteur de tous ces travaux, vous devez bien prendre en considération, dans votre manière de les tarifer, toutes les cessions de droits nécessaires et proportionnelles à l’usage qui en sera fait.
Vous êtes un simple exécutant
On vous a fourni toute la création d’un travail, à partir de laquelle vous n’êtes chargé que de réaliser le produit. Par exemple on vous donne un storyboard et tous les éléments graphiques d’une pub Flash, que vous devrez assembler, animer et optimiser avec quelques retouches si nécessaires : vous êtes dans le cadre d’une prestation technique, pas dans celui de la création.
Livrer les sources semble évident, car là encore c’est la finalité de votre intervention. Par ailleurs n’ayant aucun droit d’auteur à faire valoir sur ce travail vous n’avez pas à les facturer.
Quel que soit le contexte, l’attitude la plus sage reste évidemment de définir avec votre client, dès la phase d’estimation, le champ exact de votre intervention, l’usage qui sera fait de votre travail et la nécessité ou non de livrer les sources. Cela évitera tout malentendu par la suite. N’hésitez donc pas à en parler avec lui, ou à défaut d’inclure ces notions dans vos CGV.
Le cas de la PAO
Bien que le travail de publication assistée par ordinateur n’ait rien de particulier en soi et rentre toujours selon les contextes dans l’un des trois cas généraux énoncés ci-dessus, la question de la livraison des sources y est tellement fréquente et génératrice de conflits (comme d’abus) qu’il mérite qu’on s’y penche de plus près.
Dans le travail de PAO il faut bien distinguer deux postes, la direction artistique (création de la charte globale d’un livre ou magazine, impliquant la livraison des sources assorties des droits d’adaptation et de diffusion nécessaires à l’exploitation de X numéros ou volumes), et l’exécution (mise en page de toutes les pages du numéro ou des numéros suivants en partant de la charte créée par le DA, auquel cas les sources sont logiquement livrées en tant qu’objet de la prestation et aucun droit d’auteur ne peut être réclamé).
Le problème se pose quand le DA est aussi celui qui exécute les maquettes et déclinaisons.
On est alors dans le contexte du produit fini, et aucune source ne devrait être réclamée par le client, puisqu’aucune modification ou ré-exploitation de l’oeuvre n’est (normalement) envisagée. Néanmoins il est d’usage reconnu dans la presse et l’édition (et des jugements ont été rendus dans ce sens), que les sources peuvent être nécessaires à l’éditeur pour jouir pleinement de son droit « normal » d’exploitation sur le volume concerné.
En effet celui-ci a fréquemment besoin d’opérer des corrections orthographiques, des modifications de texte, des remplacements de photos et autres ajustements techniques de dernière minute, sans qu’il soit pour autant question de modifier – dénaturer le travail du créatif ni de dépasser l’exploitation prévue au départ.
Pour cette raison, il convient généralement de livrer sur demande les sources de ses pages.
Mais attention, assurez-vous bien, avant cela, que votre client a bien compris que la livraison des sources à des fins techniques n’emporte absolument pas le droit d’en faire « ce qu’il veut », à savoir en dénaturer l’aspect graphique et/ou les exploiter pour des numéros ou volumes non-prévus dans la cession de droit.
Il est important de bien éclaircir ce point car beaucoup d’agences ou de maisons paraissent encore (ou aiment à paraître) relativement ignorantes du droit d’auteur et demandent ces sources en « croyant » pouvoir les exploiter comme bon leur semble par la suite…
N’hésitez pas à faire signer à vos clients un document dans lequel ils attestent avoir bien compris les limites de la cession effectuée et donc de l’utilisation des sources livrées à l’issue de votre travail. Là encore, dans l’idéal faites-en un article des CGV accompagnant votre devis et vos factures.
En résumé : Les documents de travail, et surtout leur exploitation commerciale si vous êtes auteur, ont une valeur, que comme tous les éléments de votre prestation il convient de deviser dès le départ. A défaut, ne cédez pas à la pression et négociez cette nouvelle vente ou cession, vous êtes dans votre droit.
Dans tous les cas, quelle que soit la configuration, l’important est qu’aucune source ne soit exploitée hors du cadre de la cession de droits vendue par l’auteur.
PHOTOGRAVURE
A
Agrafage : système de reliure dans lequel les cahiers et couvertures sont brochés par des agrafes sur la surface extérieure.
Anamorphose : agrandissement ou réduction d'une image dont les rapports largeur/hauteur diffèrent.
Angle de trame : désigne l'angle en degrés selon lequel sont orientés les alignements de points de trames de chacune des encres utilisées au moment de l'impression. De mauvais angles de trames produisent un moirage et des écarts de teintes et de couleurs.
Analogique (Épreuve analogique) : épreuve de contrôle effectuée par insolation des films d’impression après insolation U.V., ex. Cromalin ® et Matchprint ®.
Aplat : - surface recouverte uniformément par une couche d'encre. L'aplat désigne toute couleur imprimé à 100% (teinte 100%) : il n'y a donc plus de point de trame. - impression de teinte unie dans le but d'obtenir une teinte uniforme (tous procédés d'impression).
Assemblage : procédure de rassemblement des différents cahiers afin d'obtenir un livre dans l'ordre de reliure.
ASCII : "American Standard Code for Information Exchange". Chacun des caractères accessibles depuis le clavier d'un micro est décrit par un code numérique unique. Aliasing: effet désagréable dû à la pixelisation, et qui fait apparaître des escaliers sur les lignes en biais.
B
B. à T .ou B. à G. : Bon A Tirer ou Bon A Graver. Acceptation signée par le commanditaire au photograveur ou à l'imprimeur, prouvant qu'il donne son accord pour impression. La signature du BAT sur maquette (sortie imprimante) ou sur épreuve tramée type cromalin® ou matchprint® dégage l'imprimeur de toute responsabilité en cas d'erreur ou d'omission constatées après impression.
Bitmap : format d'image. Qualifie une image formée de points colorés. La technique est simple à mettre en œuvre, mais sa définition est généralement faible.
Base de données : bibliothèque de données ayant toutes la même structuration, ce qui permet d'effectuer des taches sur chaque éléments.
Benday ® : terme issu de la photogravure traditionnelle tiré de la contraction du nom de son inventeur, Benjamin Days. Ce terme désigne une couleur spécifique réalisée par mélange des quatre couleurs de la quadrichromie. Un rouge vif, par exemple, est un Benday ® constitué de 100% de magenta et de 100% de jaune.
Bichromie-Trichromie-Quadrichromie : reproduction en 2,3,4 couleurs d'une illustration, photo ou document trait (en aplat, Benday ®, sélection numérique ou cumul de plusieurs de ces techniques). NB: L'hexachromie en essai de développement est une quadri CMYK + deux couleurs : un orangé et un vert tendre.
Blanc : désigne d’une manière générale les hautes lumières ; Blanc standard : Bleu 5 % Rouge 3 % Jaune 4 %
Bit : contraction de Binary Digit. Élément minimal d'information pouvant prendre deux états.
BitMap : surface pixelisée au trait. La plupart des BitMaps sont en 72 dpi. Par extension, image informatique pixelisée.
BPS : bit par seconde. Unité adoptée pour quantifier le débit d'un modem.
Bogue : ce n'est pas un mot d'origine anglaise. désignant la coque parsemée de piquants du marron ou de la châtaigne, il a été choisi pour sa proximité avec "bug" et parce que la présence de ses piquants évoque l'idée de problême. Quant à "bug", ce mot vient de ce que les premiers ordinateurs, gros monstres à lampes, ont connu quelques déboires à cause des punaises, "bugs" en anglais, qui s'y étaient glissées et avaient provoqué des courts-circuits. - Science &t Vie, n° 987, p.63 -
Bouché : textes ou dessins trop petits, qui gênèrent une accumulation excessive d'encre entraînant la disparition de détails ou de nuances intermédiaires.
Bon à tirer : agrément donné par le client pour l'impression de ses travaux (à signer sur épreuve analogique, numérique, etc.) Bon à rouler : échantillon imprimé restituant le document final dans des conditions de production identiques.
Brochage : terme de reliure. Les différents cahiers sont cousus entre eux.
Bromure : tirage photographique sur papier sensible/photographique.
Browser : logiciel client permettant la navigation par liens hypertextes et la lecture des pages en HTML, les plus connus sont Netscape Navigator, Internet Explorer et NCSA Mosaïc.
Brûlé : terme utilisé par les photographes: parties les plus claires d'une photographie dans lesquelles il n'y a plus du tout d'information de couleur. Synonyme de "Crevé".
Bug : voir bogue
C
Cadrage : action de supprimer une partie de l'image dans le but d'attirer l'attention sur un détail spécifique de celle-ci. Le cadrage réduit la taille de l'image.
Calage : positionnement et fixation de la plaque portant la forme imprimante sur le cylindre porte - plaque, remplissage des encriers, alimentation en papier, réglage de la marge et du plateau de réception.
CD : Compact disc. Disque audionumérique lu par faisceau laser.
CD ROM : disque compact intéractif réalisé par pressage et pouvant contenir environ 650 méga-octets de données numériques.
Césure : division d'un mot en fin de ligne, qui obéit à des règles typographiques et étymologiques très précises, suivant la langue utilisée.
Corps : hauteur totale d'un caractère typographique, y compris les talus. Le corps s'exprime en points.
Couche sensible : (photogravure) c'est la couche qui compose l'image en noir sur un film. On flashe soit "en offset" (le plus courant), soit "en sérigraphie". Sur un film offset la couche est située dessous ; sur un film en sérigraphie elle est située dessus (pour permettre le report de l'image du film).
Chromiste (Scannériste) : en "traditionnel", les fonctions de chromiste et de scannériste étaient deux fonctions bien distinctes. Le scannériste scannait les photographies, puis le chromiste prenait le relais et effectuait la correction des couleurs directement sur les films, manuellement (en utilisant un système de masques). De nos jours grâce à l'informatique, ces deux fonctions ne font généralement plus qu'une : le scannériste doit impérativement être un bon chromiste. C'est lui qui s'occupe de la correction des couleurs, des retouches photo, des trucages, etc... sur le logiciel de retouche photographique le plus communément utilisé dans la photogravure : Photoshop.
Cromalin® : voir Matchprint®.
CMJN ou CMYK : expression qui fait référence aux premières lettres des quatre couleurs de la quadrichromie. Ce sont les couleurs d'encre primaires qui constituent la base pour la réalisation des travaux en quadrichromie. Dans les logiciels anglo-saxons, l'abréviation CMJN est fréquemment remplacé par CMYK (Cyan, Magenta, Yellow et Black dont on utilise K et non B pour ce dernier afin qu'il n'y ait pas de confusion avec Blue).
Compte-Fils : petite loupe capable d'un fort grossissement, à l'origine servant à compter les fils d'un tissag. Dans les arts graphiques elle est utilisée pour déterminer la valeur moyenne d'un point et plus généralement la qualité de la photogravure ou de l'impression.
Crevé : parties les plus claires d'une photographie numérisée dans lesquelles il n'y a plus du tout d'information de couleur. En principe, on cherche à éviter la "crevaison" en remplaçant un blanc pur par quelques % des encres cyan, magenta et jaune. Les photographes désignent le même phénomène néfaste par le terme "Brûlé".
Croissant (expression) : se dit d'une mauvaise manipulation d'un film ou cliché entraînant un pli de surface ayant la forme d'un croissant, le rendant ainsi inutilisable.
CTF : Computer To Film ; désigne d’une manière générale le processus ou le matériel qui permet de fabriquer des films à partir d’un fichier numérique.
CTP : Computer To Plate ; désigne d’une manière générale le processus ou le matériel qui permet de fabriquer des plaques d’imprimerie à partir d’un fichier numérique.
Conception : étude et création d'un document.
Contraste : rapport entre les zones claires et les zones sombres d'une image.
Couleurs indexées : on dit qu'une image est en couleurs indexées lorsque ses couleurs sont définies dans une table de couleurs RVB. Une image en couleur indexée demande beaucoup moins d'espace disque. Elle ne doit jamais être utilisée lors d'une impression couleur : il faut impérativement utiliser des images qui puissent être séparées en CMYK lors de la mise en page.
D
Demi-Teintes : appelées également "Demi-tons". Désignent les gris moyens d'une image dans une plage comprise entre 37% et 62%. Par exemple gris standard : Bleu 50 % Rouge 30 % Jaune 30 %
Densité : opacité et transparence mesurable (avec un densitomètre) des valeurs d'un film pour le contrôler avant la copie. Terme aussi utilisé pour mesurer la densité des encres (optique) et des solvants de gravure (poids).
Densitomètre : appareil de mesure de densité des couleurs. C'est un appareil de précision servant à fournir des indications précises sur la linéature, la taille du point de trame (c'est à dire la densité sur une surface définie). Il permet également de mesurer les valeurs du noir (densité de 4 à 5). Il mesure aussi les valeurs demi-ton non tramées. On trouve 3 types de densitomètres : - densitomètre par transparence (analyse des films) - densitomètre par réflexion (analyse des documents imprimés) - spectromètre (calibration des écrans) La marque qui demeure la plus fiable est : GRETAG.
Désaturation : action de retirer la couleur sans nuire à la luminosité. La désaturation produit des couleurs ternes (désaturation courante pour permettre la lisibilité d’un texte noir : 30 %).
Dessin vectoriel : méthode de dessin sur informatique manipulant des objets géométriques et non des surfaces de pixels juxtaposés.
Dessin composition : permet de préparer le document d'exécution.
Disque Opto Numérique : support numérique (250, 650 Mo).
Détourage : technique permettant d'isoler une partie de l'image en masquant le reste. Le détourage peut être vectoriel (avec des courbes de Bézier accessibles par l'outil Plume), ou pixelisé avec un masque en niveaux de gris qui permet d'obtenir des bords flous.
DPI : "Dots Per Inch" en anglais et "points par pouce" en français. Unité de mesure désignant le nombre de pixels par pouce (le pouce est une unité de mesure anglo-saxonne valant 25,4 millimètres). Plus le nombre est élevé, plus la résolution de l'image est élevée et donc la qualité est meilleure. Les images standards sont scannées en 300 DPI.
Driver : terme anglais désignant un programme d'interfaçage avec un format ou un appareil particulier.
DVD : support informatique pouvant contenir 4,7 Go d'informations (9,4 Go et 19 Go à l'avenir).
E
E-Mail : messagerie sur Internet ; on l'appelle "courrier électronique".
Engraissement de point : augmentation de la taille d'un point de trame par diffusion de l'encre sur le support.
Épreuve numérique : épreuve de contrôle réalisée uniquement à partir de fichiers numériques, donc sans film de photogravure. Les imprimantes sont à laser, à jet d'encre ou par sublimation (passage instantané de l'état de solide à l'état gazeux). Inconvénient : les tons directs sont transcrits en valeur ou pourcentage de trame selon la gamme primaire C.M.Y.K, ce qui ne sera pas le reflet de la réalité de la future impression. Ce système sert surtout pour la présentation graphique.
Jusqu'à fin 99, seul Kodak avec le système Approval proposait un système d'épreuve tramée numérique ; mais depuis janvier 2000, 3M/Imation propose lui aussi son propre système d'épreuve tramée numérique.
Épreuve papier : sur presse à essai offset, réalisée à partir des films positifs (normaux ou grossis). C'est un procédé offset. Chaque couleur est imprimée l'une après l'autre car la machine ne comporte qu'un groupe imprimant. Il est possible d'utiliser le papier support client.
Épreuve par transfert : certains systèmes utilisent un support spécial sur lequel l'image est déposée. Elle sera ensuite décalquée sur le support du client. Souvent uniquement en C.M.Y.K
Épreuve sur presse flexo : réalisée à partir des clichés finis qui seront ensuite livrés à l'imprimeur. Chaque couleur est imprimée l'une après l'autre car la machine ne comporte qu'un groupe imprimant. Il est possible d'utiliser le support client.
Épreuve : maquette représentative du document final.
Épreuve numérique : épreuve réalisée à partir d'informations numériques enregistrées avant réalisation des films. Procédés : laser, jet d'encre, transfert thermique, sublimation de teintes./ Systèmes : Iris, Rainbow, Cromalin, numérique. Extranet : mode de communication et de collaboration entre entreprises utilisant les technologies de l'Internet. Réseau privé limité à une population identifiée. On peut y accéder de l’extérieur de l’entreprise, généralement avec un mot de passe ou un code, souvent par le site Internet.
EPS (Encapsuled Post Script) : un document en format EPS vectoriel est un fichier en langage Postscript décrivant le contenu d'une image ou d'une page complète (textes, filets, images importées). Contrairement aux fichiers Postscript qui ne peuvent être destinés qu'à l'impression, le fichier EPS peut être visualisé et importé dans bon nombre de logiciels de dessins, de PAO et de mise en page. En fait, chaque fichier EPS contient une représentation matricielle en basse résolution en TIFF ou en PICT pour visualiser l'illustration à l'écran. Il faut noter qu'un fichier EPS est verrouillé. Donc un fichier EPS exporté ne pourra être modifié même lorsque réimporté dans son logiciel d'origine. Seul un document Illustrator en EPS vectoriel pourra être réouvert sur ce même logiciel et être modifié. Adobe Photoshop est également capable de modifier le contenu d'un fichier EPS vectoriel mais de ce fait, il le transforme en EPS matriciel. Il faut user de prudence lors d'une séparation en quadrichromie d'un fichier EPS. Il faut s'assurer que les images EPS soient bien converties en CMYK dans le logiciel de retouche photo avant d'être exportées en format EPS, à défaut de quoi les logiciels de mise en page tels que PageMaker ou XPress seront incapables d'effectuer la séparation des images RVB.
F
Faq : Frequently Asked Question. Liste de questions/réponses répondant aux problèmes les plus souvent soulevés se trouvant sur les sites ou dans les News d'Internet.
FTP : File Transfer Protocol. Solution logicielle client/serveur assurant le transfert de fichiers entre deux machines.
Filtre : traitement des photo ayant pour objectif d'obtenir un effet spécial ou de régler la couleur ou le contraste.
Finition : ensemble des traitements subit par les travaux de leur sortie de presse jusqu'à leur expédition.
Film négatif : seules les surfaces transparentes seront copiées.
Film positif : seules les surfaces opaques seront copiées.
Flashage ou Photogravure : Procédé permettant d'obtenir des films, à partir d'un fichier informatique Postcript, en haute résolution (1270 dpi minimum contre 600dpi pour une sortie laser). Autrement dit, c'est un transfert de données numériques sur support film. C'est la dernière étape avant l'impression.
Flasheuse ou plotter : ce terme issu d'un jargon professionnel est maintenant communément admis et accepté. Il désigne une machine électronique et optique de haute précision chargée d'insoler les films que l'on remet à l'imprimeur. L'expression "flasheuse" vient du fait que cette machine insole un film photosensible en projetant sur celui-ci de multiples et minuscules "flashs" de lumière. On distingue 2 technologies différentes : CABESTAN et tambour pour le haut de gamme.
Fichier : se dit d'un document enregistré dans son logiciel d'origine.
Film : support photosensible transparent d'une résolution minimum de 1270 dpi servant à la gravure d'une plaque d'impression. Les films comportent une couche polyester ainsi qu’une couche photosensible qui comportera les points de trames issus de la photogravure. Il y a autant de films qu'il y a de couleurs dans la page que l'on envoie à l'impression. Un film pour une page en noir et blanc , quatre films pour une page quadri.
Fonte : dessin de caractère dans un style particulier.
Formats normalisés : A0 : 1m2 84 x 118,8 cm A1 : 59,4 x 84 cm A2 : 42 x 59,4 cm A3 : 29,7 x 42 cm A4 : 21x 29,7 cm A5 : 14,85 x 21 cm A6 : 10,65 x 14,85 cm Pour passer d'un format au format immédiatement inférieur, on divise la plus grande dimension par 2.
G
Gamme : essai de photogravure couleur par couleur puis par superposition des couleurs entre elles pour faciliter les corrections et le suivi sur machine du résultat obtenu.
GCR : Gray Composent Replacement, en français "remplacement du composant gris". Le GCR est une méthode intelligente de séparation des couleurs RVB en couleurs CMJN. Le GCR ajoute une proportion de noir à toutes les zones de votre image couvertes par les trois couleurs cyan, magenta et jaune y compris dans les zones les plus claires.
GPAO : Gestion de Production Assistée par Ordinateur. Elle peut être liée à la gestion comptable...
Grossi (débords) : utilisépour compenser les décalages d'impression. Il faut créer un débord uniquement sous une autre couleur contigüe et plus foncée, sans changer la dimension visuelle initiale.
H
Hirondelles : traits de coupe (repères ou croix de repérage) excentrés si possible, permettant de simplifier la mise en repérage des films. Sur les travaux en plusieurs couleurs, elles permettent de repérer précisément la superposition des différents films, afin d'éviter tout phénomène de moirage ou de décalage d'impression.
Hautes lumières : parties les plus claires d'une image. Histogramme : l'histogramme d'une image permet d'en connaître la répartition des luminosités, depuis les ombres jusqu'aux hautes lumières.
Homothétie : agrandissement de l'image ou d'une partie de l'image sans changement de rapport hauteur largeur. Il y a donc un rapport proportionnel entre la largeur et la hauteur en fonction d'un taux d'agrandissement ou de réduction choisi. Exemple : Document tel Largeur 21, Hauteur 30, Agrandissement à 200 %, Largeur 420, Hauteur 600. Seule l'anamorphose peut faire varier l'homothétie.
HTML : Hypertext Markup Language. Langage de description de pages pour le web.
I
Infographie : action de réaliser ou retoucher des dessins ou des photographies, en vue d'une publication imprimée ou électronique à l'aide d'un ordinateur comme outil principal.
Illustration format pleine page : on utilise la surface complète de la page.
Illustration format double page : c'est lorsque l'illustration est à cheval sur deux pages.
Imposition : Classement dans un ordre déterminé des pages d'un ouvrage, afin qu'après pliage les pages se suivent dans le bon ordre. On obtient ainsi des brochures et des cahiers qui seront assemblés et brochés. Certains éditeurs de logiciels ont conçu des applications spécialisées permettant l'impostion électronique.
IRC : Internet Relay Chat. Conférences en temps réel sur Internet.
Imports : dans un fichier de mise en page, hormis le texte, il peut exister des dessins ou photos provenant d'autres logiciels (ex : lorsque l'on monte une page sur XPress; on peut être amené à importer/incorporer un logo dessiné sur Illustrator ou une photo retouchée sur Photoshop.
Internet : réseau de communication mondial auquel sont reliés en permanence plus de 6 millions d'ordinateurs.
Intranet : réseau interne à l'entreprise dont le fonctionnement est calqué sur celui d’Internet. Il n’est souvent accessible que de l’intérieur de l’entreprise. Illustrator : logiciel de Publication Assisté par Ordinateur (illustration, dessin, création de logo...).
J
Jaz : support numérique (1 et 2 Go).
Java : langage de programmation dérivé du C++ permettant la réalisation d'applications transmises sur le Net.
JPEG : Joint Photograph Expert Group. C'est un procédé de compression qui induit une perte d'informations et dont le taux de compression sont très élevés (entre 4 et 30).
L
Linéature : terme désignant le nombre de lignes régulières comprises dans 1 centimètre qui représentent la base de la trame. La linéature est la fréquence des points de trame employée pour l'impression. Plus les lignes sont serrées,plus précise est la définition. La finesse d'une trame ne s'exprime pas en "dots per inch" (dpi) mais en "lines per inch" (lpi). Pour une résolution donnée, plus la linéature est élevée, plus les points d'impressions sont petits, plus grande est la finesse de la trame mais moins de nuances de gris sont disponibles (et réciproquement). il existe une relation entre la résolution d'une imprimante, la linéature et le nombre de niveaux de gris. De manière générale, les linéatures sont comprises entre 65 et 85 lpi dans les journaux, 120 et 150 lpi dans les magazines, 175 lpi et plus dans les ouvrages d'arts de haute qualité. Les imprimantes du marché (300 dpi) atteignent difficilement, pour leur part, une linéature de 50 à 60 lpi. (Voir aussi Résolution)
LPI : Lines Per Inch en anglais et Ligne Par Pouce en français. Cette unité de mesure désigne le nombre de points de trame par pouce (le pouce est une unité de mesure anglo-saxonne valant 25,4 millimètre). Plus le nombre de lignes par pouce est élevé, plus la finesse de l'impression sera élevée et donc meilleure sera la qualité de l'image. Trames usuelles : 55/65/85 en sérigraphie 100 en presse 133/150/175 en impression offset 175/200 pour projection
Laize : largeur de la bande de papier en bobine ou rouleau .
Laser : type d'imprimante noir et blanc ou couleur, associant rapidité et qualité d'impression sur des papiers classiques (offset).
M
Maculage : trace d'encre au verso des documents résultant d'un manque de séchage.
Maigri : par opposition au "Grossi", expression que l'on donne à la création d'un " blanc " entre deux couleurs afin d'éviter la superposition non désirée de deux couleurs lors de l'impression. C'est en quelque sorte une marge de sécurité (exemple : entre le bleu et le jaune pour éviter un débord vert).
Maquette de finalisée ou Mise au net ou Document d'exécution : représente la future impression à une proportion donnée avec dessins, textes et mise en place pour les photos. L'ensemble permettant de commencer la photogravure.
Matchprint® (Cromalin®) : épreuve couleur analogique obtenue par superposition des 4 films quadrichromiques (Cyan, Magenta, Jaune, Noir). Il sert de B.A.T et d'épreuve de contrôle couleur pour l'imprimeur . Matchprint® est l'une des 2 principales marques d'épreuve à procédé photographique vendues sur le marché, avec Cromalin® . Le procédé varie sensiblement suivant la marque. Cromalin® est la marque déposée de Dupont de Nemours, Matchprint® celle proposé par 3M/Imation.
Megaoctet (Mo) : exprime le "poids" informatique d'un fichier (1 Mo=1024 Ko ou Kilo octets). Voici quelques exemples pour en donner une idée concrète : - une disquette contient 1,4 Mo et 1 CD Rom 650 Mo. - une page Word simple de texte "pèse" quelques Ko et une photo pleine page A4 de l'ordre de 40 Mo en fonction de sa définition.
Modem "modulateur-démodulateur " : système de communication de données entre deux ordinateurs par transmission téléphonique.
Moirage : phénomène visuel désagréable provoqué par la superposition de deux trames avec des angles incorrects et faisant apparaître des dessins géométriques parasites.
Monochrome : représentation en 1 seule couleur.
Montage des films : assemblage des différents films composant le document pour la réalisation des plaques d'imprimerie.
Moteur de recherche : programme fonctionnant sur Internet ou dans des bases de données permettant la recherche de mots, de données selon un ou plusieurs critères.
Multimédia : ensemble des applications interactives mêlant texte, image, son, et/ou vidéo.
Modem : appareil électronique transformant un signal numérique, provenant d'un ordinateur, en une modulation analogique, à destination du réseau téléphonique. Et réciproquement.
N
Navigateur : voir Browser.
Noir au blanc : Inversion des valeurs d'une image ou d'un texte, faisant venir en blanc ce qui est noir et vice versa.
Noir : désigne d’une manière générale les basses lumières d’une image. Noir Standard : Bleu 97 % Rouge 90 % Jaune 91 % Noir 75 %
Numérisation : voir Scanner.
Numéris : nom du RNIS français. Ce réseau public numérique permet la transmission à une vitesse de base de 64 kBauds.
Newsgroups : forums de discussions sur l'internet.
O
Octets : byte en anglais (1 byte=8 bits). Permet de coder 256 caractères (ou entiers) de 0 à 255.
Offset : principe d'impression s'appuyant sur les propriétés d'absorption d'encre d'une plaque photographique sensibilisée au moyen d'un procédé photochimique. L'offset représente la grande majorité des travaux d'imprimerie commerciale. Lors de l'impression en quadrichromie, le document sera transféré sur quatre plaques, correspondant aux quatre couleurs.
Ombres : zones les plus sombres d'une image dont les gris évoluent de 85 à 100% (voir Noir).
Ouvrir : signifie "empâter". On peut "ouvrir" avec ou sans "Noir au blanc". En cas de "Noir au blanc", cela signifie augmenter la largeur de blanc des lettres, d'une ligne, ou toutes autres réserves jugées trop fines pour être imprimées dans un aplat sans changer la dimension initiale.
Ozalid : se présente en papier ou en support transparent polyester monochrome. Il s'insole aux UV à travers le film positif de photogravure et se développe dans une machine à vapeur d'ammoniaque. On utilise une feuille par couleur que l'on superposera en fonction du nombre de couleurs. Il sert surtout pour le placement et la correction des textes. Il sert d’ultime BAT chez l’imprimeur.
Ozalid bicouleur : idem "Ozalid" mais n'existe qu'en support papier. Il est peut être insolé 2 fois pour représenter une deuxième couleur sur le même support.
Ozalid couleur : idem "Ozalid" mais disponible seulement en couleurs dites primaires (cyan, magenta, jaune, noir), pour imaginer une quadri. L'ensemble de ces produits ne peut servir de contrôle chromatique.
On line : "En ligne", se dit d'une application ou d'un équipement nécessitant une liaison avec un autre équipement.
Off line : "Hors ligne", se dit d'une application ou d'un équipement fonctionnant de façon autonome, sans connexion nécessaire à un quelconque réseau.
P
PAO : Publication Assistée par Ordinateur ; appelée aussi Pré-presse de par ses fonctions en amont de l'impression. Ensemble des techniques informatiques permettant la mise en page, la scannérisation et l'intégration de documents couleurs, et le flashage.
PageMaker : logiciel de PAO (équivalent à XPress et souvent utilisé dans le monde PC ).
Pantone : système de référence international permettant de choisir une nuance parmi une gamme comprenant 747 couleurs distinctes chacune identifiée par un numéro de référence. Il existe les pantone "Coated" pour un rendu sur papier couché ou brillant et les pantone "Uncoated" pour un rendu sur offset ou papier mat.
Papier couché : le papier couché peut-être brillant, satiné ou mat. Il est largement utilisé en imprimerie et traité selon un procédé spécifique pour présenter un aspect lisse au touché. Le terme couché n'implique pas nécessairement la notion de brillance puisqu'il existe, outre les papiers couchés brillants, des papiers couchés satinés et des papiers couchés mats. Un papier non couché absorbe plus facilement l'encre.
PDF : Le format Adobe® PDF (Portable Document Format) est le standard de facto pour la diffusion électronique de documents dans le monde entier. Le PDF est un format de fichier universel qui permet de conserver les polices, la mise en pages, les couleurs et les graphiques des documents d'origine, quel qu'en soit le type et quelles que soient la plate-forme et les applications utilisées pour les créer. Les fichiers PDF sont peu volumineux et peuvent être partagés, visualisés, consultés et imprimés en conservant leur aspect original à l'aide du logiciel gratuit Adobe® Acrobat® Reader. Vous pouvez convertir tous vos documents au format PDF, y compris les documents papier numérisés, à l'aide du logiciel Adobe® Acrobat® 4.0. Le PDF est le format idéal pour la diffusion de documents électroniques car il permet d'éviter tous les problèmes généralement liés au partage des fichiers électroniques. Qu'est-ce que le logiciel gratuit Acrobat® Reader ? Il s'agit d'un logiciel de visualisation et d'impression des fichiers PDF. Adobe® Acrobat® Reader est un logiciel qui permet de visualiser et d'imprimer les fichiers au format Adobe® PDF (Portable Document Format) sur toutes les plates-formes informatiques les plus courantes. Vous pouvez télécharger la dernière version en cliquant sur l'icône ci-dessous. Pelliculage : procédé de finition qui ajoute après impression une mince couche de polypropylène brillant ou mat donnant une finition parfaite au support. Possible en recto et recto/verso.
Plaque : support photo sensible utilisé en imprimerie pour le transfert de l'image sur le papier.
Photocomposeuse : procédé permettant d'exposer sur support films, papier ou plaque des informations numériques.
Photogravure : voir Flashage.
Pixel : le pixel (contraction de l'anglais "picture element") constitue la plus petite entité d'une image numérisée. Généralement sous forme de carré, il constitue la base de l'information graphique. Le pixel est fait d'une teinte et d'une couleur unie.
Police/Fonte : ensemble de lettres composant un caractère dans un corps et une graisse donnés.
Point blanc : zone la plus claire d'une image (voir Blanc).
Point de trame : désigne le plus petit élément constitutif d'une image reproduite grâce au procédé de l'imprimerie traditionnelle. Le point de trame est généralement rond ou elliptique mais peut exceptionnellement être un losange ou un carré.
Pourcentage : surface plus ou moins grosse du point de trame, selon la valeur de teinte à reproduire (plus la surface de la couleur sera importante, plus le diamètre du point sera important ), et ce afin de déposer plus d'encre.
Postscript : langage informatique de description de page crée par Adobe. Il permet de faire la liaison entre les ordinateurs et les périphériques de sortie. Il rend également indépendants le système éditorial et l'unité de sortie (épreuve, film...). Le postscript est devenu un standard pour l'édition et la presse.
Prise de vue : photographie d'un document d'exécution à la dimension souhaitée ; base de départ pour toutes autres manipulations. (Peut-être remplacée par une digitalisation sur un scanner).
Progiciel : de Pro pour produit et de giciel pour logiciel. Le progiciel est un développement informatique commercialisé à plusieurs exemplaires (un développement pour le compte d’une seule entreprise n’est pas un progiciel). Photoshop : logiciel de Publication Assisté par Ordinateur (traitement de l'image).
Protocole : norme de communication entre ordinateurs (exemple : TCP/IP pour la transmission sur l'internet, HTTP pour naviguer sur le Net, HTTPS pour les communications sécurisées sur le Net, etc.)
Prépresse : désigne toutes les opérations conceptuelles, graphiques et techniques nécessaires à l'impression et au façonnage. L'entreprise de prépresse fournit les films ou les bromures prêts à être imprimés. Notons qu'une partie de la profession utilise la graphie "pré-presse". La règle grammaticale veut, en revanche, que le mot soit écrit sans trait d'union.
Q
Quadrichromie : procédé d'impression à partir des 4 couleurs primaires (Cyan, Magenta, Jaune, Noir). Toutes les autres couleurs sont obtenues à partir du mélange de ces quatre couleurs primaires selon le principe des valeurs soustractives. Pour obtenir une couleur donnée, il faut mélanger un pourcentage variable des quatre couleurs.
Quadri : diminutif de quadrichromie.
Quart de tons : les quarts de tons sont un peu plus sombres que les hautes lumières. Globalement, on peut dire qu'un quart de tons est une image dont la valeur du "gris moyen" est comprise entre 12% et 37%.
R
Rainage : empreinte en creux sur les papiers de forts grammage destinée à en faciliter le pli. Sauf mention contraire, les documents rainés sont toujours livrés à plat.
Rastérisation : anglicisme synonyme de pixelisation.
Repérage : - positionnement de plusieurs images l'une sur l'autre afin de réaliser une parfaite superposition des éléments. - concerne la parfaite superposition des couleurs au moment de l'impression. L'imprimeur qui "cale" sa machine corrige, entre autre, le mauvais repérage de son impression.
Résolution : exprimée en dpi (dots per inch) ou ppp (points par pouce). La résolution indique le niveau de qualité de l'image : plus la résolution est élevée, meilleure sera la qualité de l'image et plus important sera son "poids". Par exemple: une image offrant une résolution de 300 dpi contiendra plus d'informations et sera d'une meilleure qualité qu'une image d'une résolution de 72 dpi. En photogravure numérique, ce terme désigne le nombre de "pixels" qui constituent une image scannée ou imprimée. Résolutions moyennes : imprimantes : 300 à 600 dpi , films : 1270 à 2540 dpi.
Rogner : couper à la taille définitive.
Rough ou pré-maquette : esquisse souvent faite à la main pour donner l'idée directrice de la future impression.
RVB (rouge, vert, bleu) : en anglais RGB (Red, Green, Blue). Système de couleurs primaires utilisé par les ordinateurs et les scanners. Le mélange des couleurs est alors obtenu par l'augmentation ou la diminution de la lumière du spectre visible. Ce principe s'appelle : couleurs additives, par opposition au principe des couleurs soustractives utilisé lors de l'impression en quadrichromie.
RNIS : Réseau Numérique à Intégration de Services. Le RNIS français s'appelle Numéris : il est adapté au transfert de pages et d'images.
S
Saturation : augmentation de la valeur de gris d'une couleur. La couleur est saturée lorsqu'elle atteint son niveau d'intensité maximum.
Scanner : en photogravure, désigne l'appareil servant à convertir en format numérique et par balayage, une image ou une photographie en format "papier". Le document ainsi transformé en données numériques sera alors compatible avec les logiciels de PAO en vue de réaliser des films, des épreuves, des plaques d’imprimerie ou des fichiers destinés à l’impression numérique. Il existe des scanners rotatifs/à tambour et à plat. Généralement les scanners rotatifs sont réservés aux professionnels de la photogravure et aux imprimeurs. Ils offrent une très haute qualité d'image, une très haute productivité à un prix genéralement élevé. Quant aux scanners à plat, les nouvelles technologies aidant, ces derniers offrent une bonne qualité d'image tout en étant faciles d'utilisation et d'un bon rapport qualité/prix. Quelques marques : DAINIPPON SCREEN, HELL SIEMENS , CROSFIELD , SCITEX , PURUP
Sérigraphie : procédé d'impression (dérivé du pochoir) par écran de soie. Permet d'imprimer des supports très fermésérigraphie litho c'est à dire avec la couche inversée, sont nécessaires.
Serveur : ordinateur sur lequel tourne un logiciel de gestion d'accès distants. Il fournit à d'autres ordinateurs qui s'y connectent des informations et des ressources.
Simili : procédé de photogravure utilisé pour la reproduction des photos en offset. Consiste à transformer l'image en points.
Sous couleurs : ce terme désigne, en quadrichromie, les couleurs cyan, magenta et jaune
Syquest : support numérique de 44/88/200 Mo etc.
SGBD : Système de Gestion de Base de Données. Il regroupe les informations des principaux progiciels (voir Progiciel).
T
Ton direct : désigne une couleur d'impression spécifique autre qu'une des quatre couleurs traditionnellement utilisées (cyan, magenta, noir et jaune). Le plus souvent, en France, le ton direct est une couleur Pantone.
Trois quart de tons : zones foncées d'une image proches des "ombres". Désigne les gris moyens d'une image dans une plage comprise entre 62% et 87%.
Trame : structure ou ensemble de points de grandeur variable dont une photographie (en noir et blanc ou en couleur) est composée. C'est une surface de même linéature et pourcentage pouvant être orientée différemment à chaque couleur, afin d'éviter le moirage dans les cas de superposition de couleurs tramées (utilisé pour fabriquer les ben day). Terme de photogravure traditionnelle. D’une manière générale la trame désigne les points qui constituent une image numérisée.
Tiff (Tagged Image File Format) : format de fichier d'image fréquemment utilisé par les logiciels de dessin et de retouche. C'est un format d'échange polyvalent et très répandu.
Traits de coupe : permet à l'imprimeur de repérer précisément le format fini d'un document avant passage en coupe massicot.
Typographie : ensemble des techniques et des procédés permettant de reproduire des textes par l'impression d'un assemblage de caractères en relief.
U
UCA : Under Color Addition, en français "addition de couleurs". Dans Photoshop, la fonction UCA permet de personnaliser la proportion des sous couleurs dans le cadre de l'utilisation de la méthode de séparation GCR.
UCR : Under Color Removal, en français "retrait de sous-couleurs". A la différence de la méthode GCR, la méthode UCR ne fait intervenir les noirs que dans les zones sombres.
V
Vernissage : action de déposer un vernis sur un document imprimé afin de lui donner un aspect mat ou brillant.
Virus : programme circulant sur un réseau et destiné à s'introduire furtivement dans un équipement et à y détériorer ou détruire des fichiers. Vectoriel : qualifie un dessin formé par des courbes calculées mathématiquement. Ce type de technique de dessin est de bonne qualité et souple d'emploi.
W
World Wide Web : littéralement "toile d'araignée mondiale". Application de l'internet permettant la diffusion d'informations et de fichiers multimédia, avec une navigation par les liens hypertextes (On dit aussi "le Net" ou encore "le Web").
X
Xpress : logiciel de Publication Assisté par Ordinateur (mise en page).
Y
Y.M.C.K : couleurs primaires utilisées en imprimerie (voir C.M.J.N.).
Z
Zip : support numérique (100 et 250 Mo).
Les designers sont invités à ne pas s’encombrer de détails inutiles. L’emballage d’un produit doit être simple et sans fioriture. Le packaging doit aller à l’essentiel, présenter le produit et identifier très vite la marque en mettant en avant le logo. L’acheteur n’a plus le temps de lire ce qui est écrit sur l’emballage, il faut donc qu’il puisse identifier le produit en un coup d’œil. Les designers doivent donc miser sur un visuel frappant, évacuer la lecture et bien positionner le logo de la marque.
Enfin, côté ouverture, là encore c’est la simplicité qui prône. L’acheteur ne veut pas perdre son temps avec des emballages trop compliqués. Il doit pouvoir ouvrir le packaging rapidement sans utiliser de ciseaux ou avoir à forcer. Il faut donc simplifier au possible l’ouverture.
Adobe Illustrator est un outil puissant et peut être utilisé pour créer des illustrations, des typographies et des illustrations étonnantes. C'est un outil graphique vectoriel populaire utilisé par les concepteurs du monde entier. Pour répondre aux demandes toujours croissantes de l'industrie des arts graphiques, Adobe met à jour son logiciel chaque année. Nous avons rassemblé une liste des 10 meilleurs didacticiels Adobe Illustrator créés et produits par certains des meilleurs designers de l'industrie. Les techniques utilisées ici couvrent les effets 3D, le tracé, les effets vintage, les effets d'ombres, la perspective et plus encore. N'hésitez donc pas à parcourir cet article pour trouver le meilleur tutoriel Adobe Illustrator pour la compétence créative que vous cherchez à apprendre.
Des couleurs pour toutes les ambiances
Des outils pour trouver l’inspiration en matière de couleurs, il en existe beaucoup, mais, malgré leur nombre important, la recette fait toujours succès. Aujourd’hui nous découvrons, Ambiance. un site utilitaire et participatif qui, comme son nom l’indique, propose des palettes de couleurs définies par une ambiance. « Blackberries », « Cucumber & Tomato » ou encore « My Happy Sunny Days », il y en a pour tous les goûts.
Par Charles Loyer
7 Up, seven up boisson gazeuse créée en 1929 par l'Américain Charles Leiper Grigg
Le concept visait à redonner vie à l'art égyptien en choisissant une période de son histoire et en créant un design pour le 7UP pouvant en être inspiré. J'ai donc choisi la période des années 70 et je me suis inspiré de leur style, leurs grands cheveux, leurs pantalon charleston.
Ils étaient également intéressés par la musique à cette époque, alors je les ai tous utilisés pour concevoir ma propre boîte de conserve avec une variation de couleurs qui convient à chaque boîte. L'illustration que j'ai réalisée représente le style des personnes qui vivaient à cette époque (style des femmes). Ils étaient cool et la chose la plus importante de leur époque était la musique dont ils étaient obsédés par les chansons.
7UP Cocktail exotique, 7Up Original, 7Up Mojito, 7UP saveur MOJITO Zéro sucres
Pour votre santé, mangez au moins 5 fruits et légumes par jour http://www.mangerbouger.fr/
Gestion optimisée de Microsoft Dial
Vous pouvez maintenant modifier les paramètres d’une forme pendant que vous peignez avec Microsoft Dial. Auparavant, il était uniquement possible de modifier ces paramètres lors d’un changement de forme. Désormais, vous pouvez utiliser Microsoft Dial pour contrôler l’opacité et la régler pendant que vous peignez. Libre à vous d’utiliser le panneau Paramètres de forme pour assigner à Microsoft Dial divers contrôles dynamiques : taille, arrondi, angle, diffusion, profondeur de texture, couleur de premier plan et d’arrière-plan, opacité, flux, humidité, mélange, etc.
http://blogs.adobe.com/creative/mise-a-jour-maj-photoshop-19-1-selections-windows/
La Central Illustration Agency, ou CIA, est une ressource internationale pour ce qui se fait de mieux en matière d'art commercial et d'animation graphique pour les industries de la publicité, du design et de l'édition.
MailChimp est certainement la solution la plus connue sur le marché. Et pour cause ! Gratuit jusqu’à 2000 contacts et 12 000 mails par mois, cet outil permet de créer très facilement des newsletters au design professionnel et de les envoyer immédiatement ou à une date ultérieure.
Destiné principalement aux e-commerces, SimpleMail se distingue par de multiples fonctionnalités qui vont de la simple campagne promotionnelle aux emails ultra-personnalisés.
Avec cette solution, vous pouvez programmer des envois spéciaux, comme une promotion lors de l’anniversaire de vos clients par exemple.
Par ailleurs, SimpleMail vous offre un outil A/B Testing, c’est-à-dire que vous pouvez envoyer des emails différents, pour la même opération, et vérifier celui qui fonctionne le mieux. La prochaine fois, vous enverrez le meilleur format pour multiplier vos conversions !
Nous avons vu dans un article précédent quelles étaient les actions à entreprendre pour les professionnels afin d’être en conformité avec la GDPR. Mise en application effective le 25 mai 2018, découvrez à présent quelles sont les sanctions prévues en cas d’infraction. Sanctions prévues en cas d’infraction
Chaque Etat membre de l’Union Européenne est libre de fixer les sanctions. En France, le règlement précise tout d’abord que l’amende sera fixée en fonction de la gravité de l’infraction, de son impact et des avantages tirés.
Sanctions pécunaires
La première infraction ne pourra excéder 150.000€. Si en 5 ans l’infraction se répète, le plafond s’élève à 300.000€. L’amende est cumulable avec les sanctions émises par un juge en cas de litige. L’amende prévue s’élève ainsi jusqu’à 4% du chiffre d’affaire mondial ou 20M€.
Droit aux utilisateurs à réparation des dommages matériel ou moral
En cas de violation de ses droits, l’utilisateur peut engager une action légale contre le propriétaire du site ou de l’application, en réparation du préjudice subit. En cas d’infraction majeure, ou sur un nombre d’utilisateur élevé, les associations vie privée digitale pourront faire appel à des recours collectifs.
La particularité des métiers dans le monde créatif est qu’il n’existe pas de définition unique et définitive. Chaque époque, en suivant les évolutions, les cultures et les apports du monde entier, ces métiers se réinventent. Mais alors, à l’heure d’aujourd’hui, comment peut-on définir et différencier les métiers suivants : designer, graphiste, webdesigner & infographiste ?
Si l’on s’en tient à la langue française, le graphiste est le spécialiste de la communication. Depuis quelques années, le terme “graphiste” est de moins en moins utilisé. On parle plus de designer graphique. C’est pourquoi, si vous vous posez la question : Quelle la différence entre un graphisme et un designer ? Il n’y en a point ! Il a généralement un profil assez polyvalent avec plusieurs domaines d’expertises : l’édition, le web multimédia & le motion design. Il sait créer tout un univers graphique pour une entreprise et/ou un produit tout en donnant une identité visuelle. Des compétences qui s’étendent au-delà du web, le graphiste est l’Homme qui imagine, pratique et crée. L’Homme qui maîtrise les différents aspect de ce domaine : typographie, couleurs, mise en page, symboliques, la culture artistique.
L’infographiste est une personne qui connait parfaitement le côté technique de la production. C’est un graphiste spécialisé dans la création d’images numériques. Il favorise l’utilisation de l’ordinateur via des logiciels de création adaptés plutôt qu’un crayon. Un infographiste est un technicien du graphisme qui a donc de très bonnes connaissances de l’outil informatique, mais sans avoir l’aspect créatif, culturel ou encore artistique. Il jongle principalement avec les différents contenus afin de les agencer pour un rendu lisible et percutant.
Le webdesigner est chargé de concevoir et de réaliser le design d’une interface web c’est-à-dire en d’autres termes, un site internet. C’est un graphiste plus poussé encore en termes d’expertises car en plus de maîtriser les bases du graphisme, il comprend les contraintes du web (les nouvelles technologies, l’ergonomie, l’utilisabilité, l’accessibilité). Il s’occupe du design graphique du site internet. Il travaille généralement en collaboration avec l’infographiste car il récupère les images créées par celui-ci pour les décliner sur le web. Il pourrait l’appeler l’infographiste du web.
Grosso modo : le designer graphique crée et produit à la fois sur tous les supports, l’infographiste produit sur l’ordinateur & le webdesigner agence les supports de l’infographistes sur le web.
Bien entendu, il est possible d’avoir plusieurs casquettes. Vous pouvez non seulement être webdesigner mais aussi graphiste par exemple. Malgré le fait que les métiers deviennent de plus en plus polyvalent, il faut faire attention à ne pas dépasser la limite. Il vaut mieux être très bon dans un domaine plutôt que moyen dans plusieurs domaines.
Comment fonctionne le droit d’auteur ?
La notion de base absolue pour tout créateur. Un poil théorique, mais ça passe vite.
Le droit d’auteur français, un sous-groupe de la Propriété Intellectuelle, est inscrit dans la Constitution. Il est l’un des plus (le plus ?) protecteur du monde pour les créatifs, autant en profiter. Il s’applique automatiquement, sans aucune formalité, dès la création d’une œuvre originale. À partir du moment où vous créez une œuvre de l’esprit1, vous en acquérez immédiatement le statut d’auteur, et la panoplie de droits qui vont avec, aucun dépôt ni mention ne sont nécessaires2. Ces droits se composent de deux familles : le droit moral et les droits patrimoniaux.
par Julien Moya
http://kitdesurvie.metiers-graphiques.fr/articles/comment-fonctionne-le-droit-d-auteur
La communication digitale, ou communication numérique, s’est donc d’abord appliquée au web, aux médias sociaux et aux terminaux mobiles. Elle s’ouvre maintenant à de nouveaux canaux et tendances technologiques : réalité virtuelle, chatbot et voicebot, enceintes connectées, big data et blockchain…
Les canaux sont les supports
Les terminaux de communication sont principalement devenus des écrans… Smartphone, PC, tablettes. Des écrans individuels et tactiles. La communication digitale signe la disparition des supports et passe par les canaux d’information :
Réseaux sociaux, site web, blog, newsletter, application mobile, objets connectés
Deviant Art, véritable mine d’or de la création en tous genres.
Ce n’est un secret pour personne que Creative Boom est une excellente source d’inspiration. Environ un demi-million d'utilisateurs lisent déjà ce blog pour une dose régulière de créativité. Creative Boom vise à aider les professionnels de la création à toutes les étapes de leur carrière, qu’ils viennent de recevoir leur diplôme, qu’ils viennent de décrocher un nouvel emploi ou de créer leur propre entreprise. La cerise sur le gâteau réside dans leurs interviews avec les créateurs les plus inspirants ainsi que dans une série complète d'articles consacrés au voyage, avec des guides créatifs dans des villes telles que New York ou Melbourne.
Compétitions, appels d’offres, concours
Pour de meilleures pratiques dans les métiers de la communication.
Devoir travailler gratuitement dans l’espoir d’obtenir un contrat est devenu un fléau pour les professionnels de la communication, du design et du numérique.
Ce phénomène, amplifié par internet et son mirage du tout gratuit, touche autant les freelances que les agences. L’exploitation commerciale de main-d’œuvre gratuite n’est pourtant profitable pour personne ! D’abord pour les candidats, complètement dévalorisés et qui ne peuvent s’investir correctement sans risquer de se mettre en danger financièrement… mais également pour le client, qui prend le risque d’obtenir des propositions sans garantie de qualité ou d’authenticité, conçues par des intervenants peu impliqués ou non-qualifiés.
Un projet solide nécessite un investissement en talents, en compétences et en temps. Le donneur d’ordre avisé aura tout intérêt à sélectionner avec soin des partenaires fiables, capables de lui garantir une expertise de niveau professionnel et un suivi pérenne. Confier son projet à une entreprise au modèle économique douteux, c’est prendre le risque d’une conception superficielle, bancale, frauduleuse, qu’il faudra potentiellement refaire et qui mettra en danger l’image de l’entreprise à terme.
Il est pourtant possible de limiter le coût d’une compétition tout en rémunérant correctement chaque participant. La solution la plus courante consiste à restreindre le nombre de candidats en sélectionnant en amont les plus qualifiés, sur la base de leurs portfolios, de leurs références et de leurs réponses au cahier des charges. Et de les payer à hauteur du volume de travail préparatoire demandé, afin qu’ils puissent s’y consacrer pleinement.
Le code des marchés publics lui-même prévoit d’ailleurs la rémunération des maquettes et prototypes lorsque leur réalisation requiert un investissement significatif. Une circulaire du Ministère de la Culture et de la Communication va également dans ce sens, en indiquant que pour tout travail d’étude et de conception engagé, les candidats devront être rétribués en proportion de la prestation réalisée.
Il est temps pour les entreprises de (re)mettre en place de bonnes pratiques, afin de penser les compétitions et les appels d’offres de façon plus saine et équitable. Pour un travail de qualité et le respect de chaque intervenant, en le rémunérant à sa juste valeur.
Non aux compétitions non-dédommagées ou sous payées.
Non aux appels d’offres déguisés en concours.
Non au travail spéculatif ou perverted crowdsourcing,
détournement malhonnête de la production participative à des fins lucratives.
Non à « l’ubérisation » comme modèle d’entreprise,
qui profite du fruit du travail des autres tout en cassant les prix et en se dégageant de toute responsabilité.
Non à la concurrence déloyale d’entreprises sans éthique.
Non au travail non déclaré.
Non à la paupérisation des professionnels
des arts graphiques, du design, de la communication et du numérique.
Oui à une rémunération digne et responsable, respectueuse de la profession.
http://competitionremuneration.metiers-graphiques.fr/
Licence de polices simplifiée.
Belles polices avec une licence simple et flexible
LES PROCÉDÉS POUR l'IMPRESSION
La typographie
Typographie de GutenbergC’est un procédé d’impression directe qui utilise une forme imprimante en relief.
Le principe en est très ancien : les premières impressions connues, à partir de clichés en bois gravé (xylographie) datent du VIIIe siècle.
Gutenberg en 1450 n’a donc pas “inventé” la typographie, ni l’imprimerie, mais il a mis au point le premier procédé industriel de multiplication des caractères par coulée de métal dans des moules identiques fabriqués à partir d’une matrice unique. Cette standardisation améliora la qualité des caractères et permit une économie considérable sur leur fabrication.
Flexographie
Comme la typographie, c’est un procédé d’impression directe par une forme imprimante en relief, mais dans ce procédé, celle-ci est “flexible”, réalisée en caoutchouc vulcanisé ou en matière plastique souple. Ce procédé, particulièrement adapté à l’impression sur pellicules plastiques destinées à l’emballage, permet à l’aide de rotatives à bobines, de réaliser des impressions de qualité en couleur, dans la mesure où les documents originaux ont été conçus pour ce procédé.
Héliogravure
Procédé d’impression sur papier en bobines de grande Iargeur (plus de 2 m). Le prix de revient très élevé de la forme imprimante limite sa mise en oeuvre à des tirages importants tels que ceux des catalogues, des magazines et des brochures de grande diffusion (à partir de 300 000 ex ou plusieurs millions si la laize des bobines est plus petite).
Sérigraphie
Ce procédé d’impression directe par forme imprimante poreuse, exploite le principe du pochoir : la forme imprimante est un tissu tendu sur un cadre. Les parties imprimantes laissent passer l’encre à travers la trame du tissu. L’impression par sérigraphie présente la particularité de permettre un dépôt d’encre en épaisseur, comparable à une couche de peinture. Ce procédé reste unique lorsqu’une impression couvrante s’impose.
Offset
Procédé d’impression basé sur la répulsion de l’eau et de la graisse de l’encre. La plaque de zinc reporte l’image sur un blanchet, qui reporte l’encre sur le papier. La plupart des documents imprimés sont réalisés en Offset.
FONTES
Cette police est gratuit pour une utilisation personnelle !
Mais si vous voulez obtenir une licence commerciale, il est disponible à l'adresse: http://www.stereo-type.fr
La version commerciale contient un ensemble complet de glyphes alternés et une large gamme de 13 ligatures et clapotis de créer votre propre style! Vous serez également en mesure d'éditer des fichiers PDF avec la police incorporée
AVENIR DE MARQUE COSMETIQUE
La définition de son nom, la langue, le concept, l'identité et l'emballage, cette position BUTA'I comme une marque de cosmétiques de premier plan, combinant 100% ingrédiants naturelles à la fine pointe de la technologie Nano
BRONZA
Le vin est produit en Australie par le célèbre Quarisa Wines, et il est puissant et nuancé, avec des notes de cassis, de cerise noire, de réglisse et de café.
RÈGLES TYPOGRAPHIQUES EN INFOGRAPHIE
Elément essentiel de toute création graphique, qu’elle soit web ou print, la typographie est une science exacte dans laquelle il est parfois difficile de se retrouver. Idéale pour les étudiants ou quiconque souhaite mettre à jour ses connaissances, cette infographie balaye tout le jargon de manière claire et ludique.
Pinterest est un réseau social dédié au partage de photos et de vidéos. Pinterest permet à chaque utilisateur d’accrocher ou plutôt d’épingler (d’où le nom « Pinterest » de « Pins » signifiant épingle en anglais) ses photos préférées sur des « tableaux thématiques » : les boards. Particulièrement addictif, Pinterest permet de visualiser un flux infini de contenus de très haute qualité autour des thématiques qui vous plaisent : la mode, la cuisine, le design ou encore les voyages…
INDIA CRÉATION
AGENCE DESIGN GRAPHIQUE - COMMUNICATION DESIGN GLOBAL
DESIGN GRAPHIQUE - DESIGN PACKAGING
OUVERT du LUNDI AU VENDREDI
de 9H00 - 12H00 - 13H00 - 19H00
Tél : 07 82 85 16 36
AGENCE DESIGN VINS & SPIRITUEUX
http://www.indiacreativewinedesign.com/
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